Hervé

Le réel émeut
15 Commentaires
  1. Le calme de la partie maritime fait que l’idée de tempête se déplace complètement sur la partie terrestre…
    Est-ce Feng-Shui ?
    😉

  2. Il faudrait un chat pour le savoir ! 😉

  3. Idée et rendu intéressants ; on s’interroge, on attend…

  4. Une belle image bien composée…le regard se promène et part loin…j’aime

  5. Comme l’impression d’avoir suivi l’homme de “entre deux mondes” le long de cette voie ferrée jusqu’ici.
    Belle suite.

  6. Toute une histoire! Très belle photo!

  7. Belle composition effectivement.

  8. J’aime beaucoup cette image par tous les éléments qu’elle met en jeu : habitat précaire, voie de chemin de fer, piétons sur un “chemin de salut”, mer et activité industrielle dans le fond. Tout ça en un seul cliché ! Moins emballé par la composition.

  9. Même impression qu’Henri, les rails comme les fils d’une histoire. J’aime cette image tout en ayant un peu de mal avec le premier plan de béton très (trop?) présent.

  10. Comme Henri et OlivMo : une suite à l’entre deux mondes ! L’autre était plus percutante même si celle-ci ne manque pas d’intéret …

  11. Cette image précède de plus de vingt ans “entre deux mondes” l’enfant pourrait être devenu l’homme sur le rail, j’avoue ne pas avoir fait le lien entre les deux en la publiant, merci à Henri de nous conter cette histoire. Il faut dire qu’il s’agit de deux pays différents, ici une île (une grande île) et même si les éléments semblent identiques, la marche sur ce parapet comporte aussi quelque risques.
    Merci à vous de vos critiques, j’ai assombri un peu l’avant-plan trop clair sur la précédente pour des tonalités plus recevables.

  12. J’aime le contraste entre le ligne courbée et fluide du chemin de fer et celle anguleuse du parapet. Comme si les vies menaient au même endroit mais que la manière de l’atteindre serait plus difficile dans un cas que dans l’autre. Le plaisir est un peu gâché à cause de ces lignes parasites floues en bas à gauche.

  13. Belle photo, bien composée, et qui incite soit à la réflexion, soit à la rêverie.

  14. Récurrence thématique étonnante à vingt ans d’écart. L’histoire racontée n’est pas la même mais elle fonctionne dans les deux cas, avec peut-être un peu moins de force ici. Nicolas Bouvier n’aurait renié ni l’une ni l’autre.

  15. Merci à vous trois.

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