13 Commentaires
  1. On ne voit pas souvent de low key ici mais celui-ci est plus que justifié et magnifique. Entre l’élan de l’échelle et un titre particulièrement bien choisi, je ne sais plus ce que j’admire le plus dans ta publication !!!

  2. La bibliothèque des retours obscurs…
    L’image ne paie pas de mine mais s’installe doucement, on peut même en rêver… Bravo !
    Pour le titre, à ne pas trop prendre au pied de la lettre, j’imagine.
    😉

  3. post-scriptum : avez-vous songé à un retournement vertical de la photo ?

  4. oui c’est très beau, très fort.
    La cadrage avec cette ligne de force diagonale et l’obscurité qui pèse.
    C’est du beau travail.
    L’addendum d’hervé est fort à propos.

  5. Moi aussi, elle m’a fait penser à certaines photos de Flo g.
    Une belle photo!
    Je ne comprends pas la remarque d’alain-michel à propos du titre. Il me semble qu’il s’agit bien d’un colombier…

  6. Tout comme Estienne, un “sous-exposey” on ne peut plus judicieux… tout autant que le titre.

  7. Merci à tous pour vos commentaires encourageants.
    @Alain-Michel, c’est plus habituel de voir ‘monter’ le regard de gauche à droite, mais l’image fonctionnait bien ainsi…
    @Irène, il s’agit bien d’un ancien colombier, et celui-ci est un des plus grands que j’ai eu l’occasion de découvrir.

  8. Une belle ambiance, des caches secretes, une invitation a l’élevation et je voyage dans le temps…merci!

  9. Ce chemin –
    Seule la pénombre d’automne
    L’emprunte encore.
    (Matsuo Bashõ)

  10. Pour préciser le lien d’Hervé vers flo g .

  11. @ Michel = Mais évidemment qu’elle va très bien comme cela !
    En fait, c’est le titre qui a continué de me titiller, amenant ensuite une réflexion sur le sens de lecture, et l’envie de “retourner” cette photo abstraite-concrète dans les deux sens.
    Avec ma proposition, on entre effectivement dans le classicisme que vous évoquez en réponse. Mais il y a autre chose. La masse noire qui, dans votre image, est située dans la partie supérieure, passe automatiquement en bas lors du retournement que j’ai suggéré. De sorte que, si l’on s’en tient à l’idée de la vision de l’oiseau, le sens sera aussi différent puisque, par exemple, il pourra aussi évoquer l’idée du départ ou du retour.
    Bref, et comme l’a dit le philosophe : les grands événements naissent sous une patte de colombe !
    😉

    @ Irène : Rien de bien grave. L’association de : mémoire + colombe m’a surpris de prime abord…
    😀

  12. Une image sur laquelle on s’arrête et que l’on apprécie pour ces beaux détails, la matière, le gris, cette échelle qui mène on ne sait où. J’adhère complètement.

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