Irène de Groot sur 8 juillet 2013 à 19h27 Nuit blanche hors temps, ambiance lourde, bien rendue. Volets clos, que se passe-t-il derrière les murs encore chauds…
raphael sur 8 juillet 2013 à 20h24 Du même avis que Francois! on a le sentiment qu’il s’est passé (se passe) quelque chose dans cette rue. très intriguant. J’aime beaucoup
xavier.b sur 8 juillet 2013 à 21h14 effectivement une image qui intrigue et excite l’imagination!!! bien joué!
Bernard LVQ sur 9 juillet 2013 à 10h54 Belle … les heures s’égrènent interminables, dans les campagnes l’on entendrait peut-être le mouvement du balancier de la pendule 😉 J’aurais peut-être fait un beau carré en “ouvrant” de chaque côté.
hervé sur 9 juillet 2013 à 19h10 Non Bernard le vertical cadre bien avec la nuit blanche ! 😉 Le reflet fait bien sûr le sel de la photo, mais l’ambiance est lourde et les “flocons” de la nuit ajoutent leurs grains à cette image.
hervé sur 9 juillet 2013 à 19h12 On peut faire des photo avec un appareil à deux balles ! (smilé souriant)
Bernard LVQ sur 9 juillet 2013 à 19h24 @ Hervé . “Le reflet” ?? L’ambiance n’est pas du tout lourde comme tu l’entends pour moi. Je la sens chaude et moite, si la pendule n’est point là , le murmure chaotique du ventilateur la remplace, et je suis bien loin de tes “flocons pixelisés” 😉
hervé sur 9 juillet 2013 à 19h36 Cette fenêtre éclairée n’est pas reflétée dans la vitre ? Chaude et moite, une lourde chaleur, quoi 😉
brigitte david sur 9 juillet 2013 à 19h58 Merci à tous , d’accepter cette proposition imparfaite et braillarde, que j’ai longuement hésité à publier anticipant sur les cris d’orfrai
brigitte david sur 9 juillet 2013 à 20h16 Merci à tous , d’accepter cette proposition imparfaite et braillarde, que j’ai longuement hésité à publier anticipant les cris d’orfraie devant la balance approximative des gris, le flou… Mon problème était de faire apparaître au mieux le reflet de la fenêtre. Or, j’aurais voulu garder le haut de l’immeuble à droite dans l’ombre. Ca, j’aurais su le faire avec un développement en labo argentique. Mais là si je poussais la fenêtre le haut de l’immeuble apparaissait, piqué à mort… Hervé, pour moi le ventilateur c’est synonyme de “I had a farm in Africa…” Je ne ferais pas ça à Karen Blixen! – dont je recommande chaudement Ombres sur la prairie , à ceux qui ne savent pas quoi lire cet été… – Merci François Cardi d’y voir du grain littéraire, là où je voyais surtout les défauts.. Sur la chaleur et la moiteur, cf la météo à Lyon! Bernard la pendule… Que dalle! A la campagne le chant des grillons et le cri des bêtes la nuit- souvenir d’un âne hihannant la nuit… – c’est quand même plus rigolo!
hervé sur 9 juillet 2013 à 21h45 @Brigitte, Je n’est pas entendu de ventilateur ! Pour préciser, ces défauts deviennent une qualité dans ton image qui raconte une histoire où chacun attachera ses propres souvenirs. La répartition des masses et des lumières en font la plus belle photo que tu es publiée (décidément, c’est la bonne semaine).
nathalie f. sur 9 juillet 2013 à 22h22 Merci pour cette photo où chacun retrouve une histoire différente. Moi j’y vois un insomniaque qui se réveille toute les nuits à la même heure et qui voit toujours la même chose ; la même lumière, la même voiture, le même reflet… Rien de nouveau mais ambiance pesante.
Estienne sur 10 juillet 2013 à 16h30 La lumière est à droite et c’est la fenêtre à gauche qui attire l’oeil : tout l’intéret est dans ce détournement du regard …
Mi-nuit
Quelle histoire! Même le grain y est littéraire…
Nuit blanche hors temps, ambiance lourde, bien rendue.
Volets clos, que se passe-t-il derrière les murs encore chauds…
Du même avis que Francois! on a le sentiment qu’il s’est passé (se passe) quelque chose dans cette rue. très intriguant. J’aime beaucoup
Une nuit en abîme…
Très bien composée.
effectivement une image qui intrigue et excite l’imagination!!!
bien joué!
Belle … les heures s’égrènent interminables, dans les campagnes l’on entendrait peut-être le mouvement du balancier de la pendule 😉
J’aurais peut-être fait un beau carré en “ouvrant” de chaque côté.
Non Bernard le vertical cadre bien avec la nuit blanche ! 😉
Le reflet fait bien sûr le sel de la photo, mais l’ambiance est lourde et les “flocons” de la nuit ajoutent leurs grains à cette image.
On peut faire des photo avec un appareil à deux balles ! (smilé souriant)
@ Hervé . “Le reflet” ??
L’ambiance n’est pas du tout lourde comme tu l’entends pour moi.
Je la sens chaude et moite, si la pendule n’est point là , le murmure chaotique du ventilateur la remplace, et je suis bien loin de tes “flocons pixelisés” 😉
Cette fenêtre éclairée n’est pas reflétée dans la vitre ?
Chaude et moite, une lourde chaleur, quoi 😉
Et puis comment dormir avec un tel bruit ! (re-smilé)
Merci à tous , d’accepter cette proposition imparfaite et braillarde, que j’ai longuement hésité à publier anticipant sur les cris d’orfrai
Merci à tous , d’accepter cette proposition imparfaite et braillarde, que j’ai longuement hésité à publier anticipant les cris d’orfraie devant la balance approximative des gris, le flou…
Mon problème était de faire apparaître au mieux le reflet de la fenêtre. Or, j’aurais voulu garder le haut de l’immeuble à droite dans l’ombre. Ca, j’aurais su le faire avec un développement en labo argentique. Mais là si je poussais la fenêtre le haut de l’immeuble apparaissait, piqué à mort…
Hervé, pour moi le ventilateur c’est synonyme de “I had a farm in Africa…” Je ne ferais pas ça à Karen Blixen! – dont je recommande chaudement Ombres sur la prairie , à ceux qui ne savent pas quoi lire cet été… –
Merci François Cardi d’y voir du grain littéraire, là où je voyais surtout les défauts..
Sur la chaleur et la moiteur, cf la météo à Lyon!
Bernard la pendule… Que dalle! A la campagne le chant des grillons et le cri des bêtes la nuit- souvenir d’un âne hihannant la nuit… – c’est quand même plus rigolo!
Je n’avais pas compris que c’était un reflet 😉
@Brigitte, Je n’est pas entendu de ventilateur !
Pour préciser, ces défauts deviennent une qualité dans ton image qui raconte une histoire où chacun attachera ses propres souvenirs.
La répartition des masses et des lumières en font la plus belle photo que tu es publiée (décidément, c’est la bonne semaine).
Merci pour cette photo où chacun retrouve une histoire différente.
Moi j’y vois un insomniaque qui se réveille toute les nuits à la même heure et qui voit toujours la même chose ; la même lumière, la même voiture, le même reflet… Rien de nouveau mais ambiance pesante.
@ Merci Nathalie.
La lumière est à droite et c’est la fenêtre à gauche qui attire l’oeil : tout l’intéret est dans ce détournement du regard …