Kora sur 16 juin 2013 à 9h04 Brigitte j’aime beaucoup l’ambiance de cette photo, le reflet dans la vignette qui rappelle un souvenir fort très certainement. Le traitement général est très interressant à mi-chemin ente le dessin et la photo. @+
patrick37 sur 16 juin 2013 à 14h57 une ambiance d’atelier, et la projection sur le mur, souvenir d’un moment passé…
Irène de Groot sur 16 juin 2013 à 18h38 J’ai l’impression de m’être trompée de porte, de voir une scène intime… J’aime être voyeur, surtout quand ce qui se présente, me plaît. 😉
hervé sur 16 juin 2013 à 21h27 Le titre est bien nostalgique, la majorité du métrage fait avec ce format correspondait à des scènes de famille et l’image est intime voilée dans la pudeur de ce léger flou. Une expression touchante, véritable.
brigitte david sur 16 juin 2013 à 22h11 Le Super8 est bien le format du cinema de famille. Une série de petits films que je n’avais pas revus depuis leur création. Il y a toujours chez moi un appareil en panne. La nostalgie, la pudeur, tout ça… On ne peut pas toujours photographier des arbres en hiver et des gens pris à 40 mètres pour qu’on ne puisse les reconnaître. (la lune c’est parfait, on est sur que s’il y a quelqu’un on ne reconnaîtra pas!) J
Francis Leplay sur 17 juin 2013 à 0h45 Pleine de correspondances. La vie en crayon d’un côté, la vie en image de l’autre, laquelle a le plus de vérité?
Brigitte j’aime beaucoup l’ambiance de cette photo, le reflet dans la vignette qui rappelle un souvenir fort très certainement.
Le traitement général est très interressant à mi-chemin ente le dessin et la photo.
@+
une ambiance d’atelier, et la projection sur le mur, souvenir d’un moment passé…
J’ai l’impression de m’être trompée de porte, de voir une scène intime…
J’aime être voyeur, surtout quand ce qui se présente, me plaît. 😉
Le titre est bien nostalgique, la majorité du métrage fait avec ce format correspondait à des scènes de famille et l’image est intime voilée dans la pudeur de ce léger flou.
Une expression touchante, véritable.
Le Super8 est bien le format du cinema de famille. Une série de petits films que je n’avais pas revus depuis leur création. Il y a toujours chez moi un appareil en panne.
La nostalgie, la pudeur, tout ça… On ne peut pas toujours photographier des arbres en hiver et des gens pris à 40 mètres pour qu’on ne puisse les reconnaître. (la lune c’est parfait, on est sur que s’il y a quelqu’un on ne reconnaîtra pas!) J
Pleine de correspondances. La vie en crayon d’un côté, la vie en image de l’autre, laquelle a le plus de vérité?
@Francis… la vie en textes…
intimité, pudeur, tout est dit : superbe !
Merci Estienne!