brigitte david sur 26 avril 2013 à 7h06 … et là on n’est plus dans la réalité… Mais en plein cinéma. Je voyage!
Kora sur 26 avril 2013 à 7h09 Les dégradés de gris et le grain sont superbes. Un paysage de rêve bien présenté en N&B. La netteté me paraît un peu en retrait…la forte compression peut être ? @+
alain-michel boley sur 26 avril 2013 à 7h19 Ça avance, ça avance… 😉 L’impression que j’ai sur l’édition présentée est qu’elle a été réalisée à partir d’un scan sur une pellicule, avec peu de réserve pour développer certaines zones ?
Monsieur HR sur 26 avril 2013 à 8h58 Pour moi, la meilleure de la série. Cela coïncide avec l’apparition d’êtres humains qui , dans un paysage immense, se déplacent à la vitesse permise par leurs jambes. Cette photo me semble bien rendre compte de la temporalité propre à ces habitants de cette partie de Mongolie (si je ne me trope pas).
Morris Taub sur 26 avril 2013 à 10h51 love this open landscape, vast, wild,…i could use a few weeks here to get away from things…but where are the cafes? 😉
Olmar sur 26 avril 2013 à 11h07 Oui ça avance à petit pas. Je vais abréger la présentation de cette série ici, comme je le disais sur la précédente image, suite à vos commentaires, je me rends compte que je n’arriverais pas à donner une autre vision de cette série que celle que j’avais construite il y a quelques temps pour une petit expo dans une librairie de voyage lilloise. Je tentais ici une sélection plus ramassée de cette série sur laquelle je reviens de temps en temps, mais je me rends compte que je n’y arriverai pas. Cette image était la conclusion d’une série de douze images, que vous pouvez voir ici, si vous le souhaitez : http://www.wobook.com/WBo70sw8Fv2g/La-piste-des-tsaatanes.html C’était pour moi aussi une des plus intéressantes de la série. Pour le côté technique, la définition de l’image n’est effectivement pas au top, pour deux raisons. Je pense que l’autofocus avait fait la map à l’infini (et je devais être à pleine ouverture). La seconde est que j’ai des films complètement surdéveloppées et abîmées (à l’époque je ne faisais pas moi-même), que je ne peux quasiment pas exploiter à l’agrandisseur. Sur cette vue, l’écart entre les hautes et les basses lumières est ahurissant sur le négatif. Merci pour ces retours.
Monsieur HR sur 26 avril 2013 Ã 11h48 Dommage de ne pas publier “le troupeau” avec cette petite fille et ses rennes.
alain-michel boley sur 26 avril 2013 à 13h06 Il y a toujours un risque à publier la photo-clé en premier, comme il en irait de révéler l’intrigue d’un polar dès le générique… Inclues dans l’ordre du livre numérique, les photographies de ce reportage sont beaucoup plus à l’aise que diluées ici, et certaines d’entre elles sont même très impressionnantes. Un bravo décalé, donc… 😉
brigitte david sur 26 avril 2013 à 20h01 @Alain-Michel. Chez Hitchckock on sait d’emblée à quoi on s’attend et c’est ce savoir qui entretient le suspense. C’est comme de manger les meilleures cerises d’abord au cas où une crise cardiaque nous empêche d’en profiter… Par ailleurs, telle quelle, diluée ici, cette photo – pour moi – se suffit à elle-même et nous emmène en Mongolie. C’est déjà pas si mal!
alain-michel boley sur 26 avril 2013 à 20h10 @ Brigitte David = C’était une réponse à Monsieur HR… Pour le reste, on a pas dû voir les mêmes Hitchcock ! 😆
Olmar sur 9 mai 2013 à 14h57 Merci pour ces retours, je partage aussi cet avis, contrairement à d’autres de cette série, celle-ci peut vivre sa vie en toute indépendance !
… et là on n’est plus dans la réalité… Mais en plein cinéma. Je voyage!
Les dégradés de gris et le grain sont superbes.
Un paysage de rêve bien présenté en N&B.
La netteté me paraît un peu en retrait…la forte compression peut être ?
@+
Ça avance, ça avance…
😉
L’impression que j’ai sur l’édition présentée est qu’elle a été réalisée à partir d’un scan sur une pellicule, avec peu de réserve pour développer certaines zones ?
Pour moi, la meilleure de la série. Cela coïncide avec l’apparition d’êtres humains qui , dans un paysage immense, se déplacent à la vitesse permise par leurs jambes. Cette photo me semble bien rendre compte de la temporalité propre à ces habitants de cette partie de Mongolie (si je ne me trope pas).
love this open landscape, vast, wild,…i could use a few weeks here to get away from things…but where are the cafes? 😉
Oui ça avance à petit pas. Je vais abréger la présentation de cette série ici, comme je le disais sur la précédente image, suite à vos commentaires, je me rends compte que je n’arriverais pas à donner une autre vision de cette série que celle que j’avais construite il y a quelques temps pour une petit expo dans une librairie de voyage lilloise.
Je tentais ici une sélection plus ramassée de cette série sur laquelle je reviens de temps en temps, mais je me rends compte que je n’y arriverai pas.
Cette image était la conclusion d’une série de douze images, que vous pouvez voir ici, si vous le souhaitez : http://www.wobook.com/WBo70sw8Fv2g/La-piste-des-tsaatanes.html
C’était pour moi aussi une des plus intéressantes de la série.
Pour le côté technique, la définition de l’image n’est effectivement pas au top, pour deux raisons. Je pense que l’autofocus avait fait la map à l’infini (et je devais être à pleine ouverture). La seconde est que j’ai des films complètement surdéveloppées et abîmées (à l’époque je ne faisais pas moi-même), que je ne peux quasiment pas exploiter à l’agrandisseur. Sur cette vue, l’écart entre les hautes et les basses lumières est ahurissant sur le négatif.
Merci pour ces retours.
Dommage de ne pas publier “le troupeau” avec cette petite fille et ses rennes.
Il y a toujours un risque à publier la photo-clé en premier, comme il en irait de révéler l’intrigue d’un polar dès le générique…
Inclues dans l’ordre du livre numérique, les photographies de ce reportage sont beaucoup plus à l’aise que diluées ici, et certaines d’entre elles sont même très impressionnantes.
Un bravo décalé, donc…
😉
Une très belle photographie. Bravo.
@Alain-Michel. Chez Hitchckock on sait d’emblée à quoi on s’attend et c’est ce savoir qui entretient le suspense. C’est comme de manger les meilleures cerises d’abord au cas où une crise cardiaque nous empêche d’en profiter…
Par ailleurs, telle quelle, diluée ici, cette photo – pour moi – se suffit à elle-même et nous emmène en Mongolie. C’est déjà pas si mal!
@ Brigitte David = C’était une réponse à Monsieur HR… Pour le reste, on a pas dû voir les mêmes Hitchcock !
😆
Merci pour ces retours, je partage aussi cet avis, contrairement à d’autres de cette série, celle-ci peut vivre sa vie en toute indépendance !
C’était bien ça quand même!…