Merci à tous!
@Alain-Michel,
Oui, c’est la même scène vu sous un autre angle, et deux ans d’écart entre les deux clichés…
C’est ta publication et le lien qui m’ont incité à retourner sur les lieux du crime… 😉
Très érotique, effectivement ! Le véritable amour est dévorant.
Superbes gris. Belle mise en scène qu’aucun photographe animalier, même en attendant des siècle à l’affût, ne pourra reproduire.
PS, pour François Cardi : je poursuis ma défense de l’artifice contre la sacralisation de l’instant décisif. Cette photo en est une belle illustration.
Merci blagapart!
Les protagonistes sont de formidables modèles, ils ne bougent pas d’un poil…
Par contre, les innombrables reflets sont très difficile à éviter.
Josée
sur 7 avril 2013 à 3h19
Que de grâce et d’abandon dans ce cambré d’une ultime étreinte ! Troublant… Et la superbe palette de gris lui rend parfaitement justice.
Oui, c’est une dévoration brumeuse ! L’angle est meilleur (au sens où il est plus spectaculaire) mais l’édition de la scène d’ensemble vaut mille aussi. As-tu essayé pour celle-là où le choix de ce gris est-il voulu délibérément, comme une excuse à la crudité ?
Le réel le dispute à la fiction, mais la scène est tout empreinte d’un érotisme troublant.
Une mort si douce! Même les herbes…
Loi de la jungle ; un baiser mortel. Il fallait être là pour faire ce cliché…
Très belles peluches.
Toujours le Musée d’Afrique centrale à Tervuren ?
Je préfère l’édition de l’Antilope et la mort, citée en lien d’Uscire…
😉
Merci à tous!
@Alain-Michel,
Oui, c’est la même scène vu sous un autre angle, et deux ans d’écart entre les deux clichés…
C’est ta publication et le lien qui m’ont incité à retourner sur les lieux du crime… 😉
Très érotique, effectivement ! Le véritable amour est dévorant.
Superbes gris. Belle mise en scène qu’aucun photographe animalier, même en attendant des siècle à l’affût, ne pourra reproduire.
PS, pour François Cardi : je poursuis ma défense de l’artifice contre la sacralisation de l’instant décisif. Cette photo en est une belle illustration.
Merci blagapart!
Les protagonistes sont de formidables modèles, ils ne bougent pas d’un poil…
Par contre, les innombrables reflets sont très difficile à éviter.
Que de grâce et d’abandon dans ce cambré d’une ultime étreinte ! Troublant… Et la superbe palette de gris lui rend parfaitement justice.
Taxidermie ?
Bien centrée sur le sujet, presque dans la brume, je la préfère à la première version.
on la croirait tirée de “Out of Belgium” 😉
Josée! JMP, oui…! hervé, 😉
Merci à vous!
Oui, c’est une dévoration brumeuse ! L’angle est meilleur (au sens où il est plus spectaculaire) mais l’édition de la scène d’ensemble vaut mille aussi. As-tu essayé pour celle-là où le choix de ce gris est-il voulu délibérément, comme une excuse à la crudité ?
@ Alain-michel,
“Comme une excuse à la crudité” Alors, là, ça m’a fait sourire…
Non, tout simplement, d’autres circonstances !
Dans la même veine que l’Antilope, magnifique travail 🙂
Merci rvmarec!
c’est pas une photo c’est un tableau … BRAVO
Merci dacko!