nitrees

aime le noir et blanc, pratique l'argentique et le numérique
12 Commentaires
  1. Donc, e, 1915 le format 4/3 existait déjà. Grande finesse du grain et en plus le sourire ironique des 2 demoiselles de droite.

  2. Ca tournait pas aux isos sous amphétamine à l’époque, plutôt 25 en moyenne voire beaucoup moins, belle performance alors de réaliser un portrait “net”

  3. c’est de l’Agfa, “extra rapid” selon l’emballage

  4. Sympas les bottines & le 4/3.

  5. Et le lierre alors?

  6. d’époque!

  7. Je connais enfin le doyen des participants à Lveg! 😉
    J’aimerais beaucoup en savoir plus sur cette photographie:les personnages, comment la plaque à résister aux temps…, mille questions qui se bousculent.

  8. merci pour vos commentaires

    j’ai acheté 3 caisses de plaques et plans films dont certains pas encore utilisés

    +1 appareil stéréo qui semble fonctionner et des chassis bois que je vais tacher de revendre

    certaines boites de films exposés comportaient des dates ……

    je sais après une rapide recherche que le photographe était colmarien, négociant et voyageur

    je nettoie les plaques l’une après l’autre en les lavant à l’eau savonneuse, je scanne au fur et à mesure
    les plan-films sont en mauvais état

    ps je suis beaucoup plus jeune que celà

  9. Cela s’appelle de la raflette !
    😉

  10. “Cela s’appelle de la raflette !”
    1915, je ne pouvais en aucun cas être le photographe!

  11. Mais ce n’est pas péjoratif… C’était le terme utilisé par les photographes en reportage de guerre, qui récupéraient les bobines d’un confrère…
    Par extension, cela désigne toute récupération de photographie !

  12. ok, dans ce cas…

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