brigitte david sur 24 novembre 2012 à 15h07 Le flou accompagne certainement l’état d’incrédulité dans lequel on peut être quand on erre la nuit sur les toits du château… Bon, après le bigger splash, certains choisissent de remonter!
guinealeo sur 24 novembre 2012 à 21h11 L’idée de la photo est intéressante…mais j’ai un peu de mal dans sa lecture 🙂
Francis Leplay sur 24 novembre 2012 à 22h14 Etat d’incrédulité, mais surtout d’ébriété, Brigitte. Le flou en est sans doute la conséquence. Guinéaleo: je crains que tu aies raison, et que j’aie un peu bâclé cette prise, mais j’étais clandestin. Ces eaux dormaient la nuit dans leur réservoir, sur les toits, près des appartements de la Pompadour avec la petite lumière que l’on aperçoit au fond, et le jour, elles se déversent et alimentent les fontaines du château pour la féérie des eaux. Cette rencontre fortuite de nuit avec ce réservoir sur les toits étaient pour moi assez inattendue, mais ce que j’ai vu, il m’aura sans doute manqué de moyens pour le rendre palpable.
Kora sur 25 novembre 2012 à 11h15 Une bonne idée de départ mais comme Guinealeo j’ai un peu de mal avec la lecture de cette photo… une idée à peaufiner 😉 @+
Henri sur 25 novembre 2012 à 11h54 “il m’aura sans doute manqué de moyens pour le rendre palpable.” pourtant j’y retrouve, quelque chose de “lieu-dit” , “loin des jardins” ou même de “le spleen de paris” et quelques autres… “Le jour tombe. Un grand apaisement se fait dans les pauvres esprits fatigués du labeur de la journée; et leurs pensées prennent maintenant les couleurs tendres et indécises du crépuscule.”
laetitia35 sur 25 novembre 2012 à 12h06 je suis d’accord avec la difficulté de lecture par contre j’aime beaucoup l’ambiance de l’image et le flou accompagne bien cette atmosphère un peu inquiétante.
Olmar sur 25 novembre 2012 à 15h57 Pour ma part, j’entrebien dans cette hésitation visuelle. Jiirais même jusqu’à dire que je m’y sens plutôt bien. Sans doute grâce à ces beau gris veloutés. Sur un beau papier mat je dirais.
Francis Leplay sur 26 novembre 2012 à 13h05 Henry, merci de trouver à mes errances (errements?) une cohérence 🙂 Il est de qui ce très long et beau Haïku?! Merci Laetitia , Kora et Olmar. Je dois avouer ne jamais encore avoir fait de tirage papier. Peut-être qu’un jour je me laisserai tenter, et puis je crois me souvenir qu’il y avait sur ce site l’idée en germe de tirages papiers qu’on s’échangeraient, alors pourquoi pas?
Henri sur 26 novembre 2012 à 13h32 @ Francis , c’est juste un passage de “Le crépuscule du soir ” dans “Le Spleen de Paris”… 😉
alain-michel boley sur 6 avril 2013 à 7h48 Si j’arrive à m’imaginer que c’est du Dom Pérignon, je plonge… Il y a quelque chose de fascinant dans cette image mais aussi de déséquilibré et d’inabouti… Peut-être trop picturale pour être seulement traitée avec ce type de NB. Peut-être qu’un léger virage ? 😉
Le flou accompagne certainement l’état d’incrédulité dans lequel on peut être quand on erre la nuit sur les toits du château… Bon, après le bigger splash, certains choisissent de remonter!
L’idée de la photo est intéressante…mais j’ai un peu de mal dans sa lecture 🙂
Etat d’incrédulité, mais surtout d’ébriété, Brigitte. Le flou en est sans doute la conséquence.
Guinéaleo: je crains que tu aies raison, et que j’aie un peu bâclé cette prise, mais j’étais clandestin. Ces eaux dormaient la nuit dans leur réservoir, sur les toits, près des appartements de la Pompadour avec la petite lumière que l’on aperçoit au fond, et le jour, elles se déversent et alimentent les fontaines du château pour la féérie des eaux. Cette rencontre fortuite de nuit avec ce réservoir sur les toits étaient pour moi assez inattendue, mais ce que j’ai vu, il m’aura sans doute manqué de moyens pour le rendre palpable.
Une bonne idée de départ mais comme Guinealeo j’ai un peu de mal avec la lecture de cette photo… une idée à peaufiner 😉
@+
“il m’aura sans doute manqué de moyens pour le rendre palpable.”
pourtant j’y retrouve, quelque chose de “lieu-dit” , “loin des jardins” ou même de “le spleen de paris” et quelques autres…
“Le jour tombe. Un grand apaisement se fait dans les pauvres esprits fatigués du labeur de la journée; et leurs pensées prennent maintenant les couleurs tendres et indécises du crépuscule.”
je suis d’accord avec la difficulté de lecture par contre j’aime beaucoup l’ambiance de l’image et le flou accompagne bien cette atmosphère un peu inquiétante.
Pour ma part, j’entrebien dans cette hésitation visuelle. Jiirais même jusqu’à dire que je m’y sens plutôt bien. Sans doute grâce à ces beau gris veloutés. Sur un beau papier mat je dirais.
Henry, merci de trouver à mes errances (errements?) une cohérence 🙂 Il est de qui ce très long et beau Haïku?! Merci Laetitia , Kora et Olmar. Je dois avouer ne jamais encore avoir fait de tirage papier. Peut-être qu’un jour je me laisserai tenter, et puis je crois me souvenir qu’il y avait sur ce site l’idée en germe de tirages papiers qu’on s’échangeraient, alors pourquoi pas?
@ Francis , c’est juste un passage de “Le crépuscule du soir ” dans “Le Spleen de Paris”…
😉
On dirait une peinture en N&B. Intéressant
Si j’arrive à m’imaginer que c’est du Dom Pérignon, je plonge…
Il y a quelque chose de fascinant dans cette image mais aussi de déséquilibré et d’inabouti… Peut-être trop picturale pour être seulement traitée avec ce type de NB.
Peut-être qu’un léger virage ?
😉
Kir royal, Alain-Michel 🙂