Louise Marquise

Louise Markise se déguise, et de fils en aiguilles, tisse une toile mêlée d’autoportraits et de poésie volée. Elle funambule entre le mot et l’image, entre la fantaisie et la nudité, les couleurs et les silences. Jeune adulte ou grande enfant, elle vit depuis cinq ans à Berlin.
5 Commentaires
  1. j’aime beucoup la composition et les gris me plaisent.
    Peut etre, mais c’est un avis perso , que sans la femme debout, l’image avec le titre donné aurait encore plus de sens .

  2. Complétement d’accord avec Antuan, sur l’ensemble de son avis. Et puis le bout du pied trop près du bord de l’image, l’éclairage projette une ombre un peu trop forte sur le radiateur, et a un effet perturbant sur la douceur de l’épaule 😉

  3. La sensation est merveille, Le souffle court, la jeune femme retourne au fond et regarde fond de son passé

    bravo Louise!

  4. La sensation est merveille, Le souffle court, la jeune femme retourne au fond et regarde le fond de son passé

    bravo Louise!

  5. Une photo pleine de mélancolie !
    @+

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