Francis Leplay sur 15 octobre 2012 à 11h06 L’intime et les secrets d’alcove, ce que l’on découvre en soulevant le fragile rideau des confidences: les secrets d’alcool. Pour moi, avec la première de la série, une juxtaposition de deux images que je trouve propice à la narration, donc à l’imaginaire. Ce serait presque l’équivalent d’un plan enchainé au cinéma, et donc en photographie un diptyque réussi.
Bernard LVQ sur 15 octobre 2012 à 14h30 Encore une fois un aller-retour imaginaire qui pour moi, comme pour la première de la série, fonctionne parfaitement. L’on se laisse berner avec ce voile que l’on aurait écarté pour dévoiler cette scène de l’intérieur mais qui nous raconte aussi des choses sur l’extérieur. Farce visuelle aussi avec la représentation idéalisée de la campagne sur le voilage et l’entre-aperçu des ruines industrielles que l’on devine.
Olmar sur 16 octobre 2012 à 7h36 Merci pour ces retours développés qui font plaisir à lire. Pour ce diptyque je souhaitais évoquer le havre qu’est le bar, ce monde en soi. Ce fin voilage renforce l’intime et joue un rôle de fenêtre sur le passé et le présent avec la friche imposante de la brasserie Terken (que l’on verra mieux un peu plus tard).
Estienne sur 16 octobre 2012 à 10h16 Avec la premier de la série, le meilleur diptyque d’abord grà ce aux contrastes des sujets : le premier très “simple” et le second plus dense. Très beau !
L’intime et les secrets d’alcove, ce que l’on découvre en soulevant le fragile rideau des confidences: les secrets d’alcool. Pour moi, avec la première de la série, une juxtaposition de deux images que je trouve propice à la narration, donc à l’imaginaire. Ce serait presque l’équivalent d’un plan enchainé au cinéma, et donc en photographie un diptyque réussi.
Encore une fois un aller-retour imaginaire qui pour moi, comme pour la première de la série, fonctionne parfaitement.
L’on se laisse berner avec ce voile que l’on aurait écarté pour dévoiler cette scène de l’intérieur mais qui nous raconte aussi des choses sur l’extérieur.
Farce visuelle aussi avec la représentation idéalisée de la campagne sur le voilage et l’entre-aperçu des ruines industrielles que l’on devine.
Merci pour ces retours développés qui font plaisir à lire.
Pour ce diptyque je souhaitais évoquer le havre qu’est le bar, ce monde en soi. Ce fin voilage renforce l’intime et joue un rôle de fenêtre sur le passé et le présent avec la friche imposante de la brasserie Terken (que l’on verra mieux un peu plus tard).
Avec la premier de la série, le meilleur diptyque d’abord grà ce aux contrastes des sujets : le premier très “simple” et le second plus dense. Très beau !
Pour moi la meilleure association de la série.