alain-michel boley sur 4 septembre 2012 à 14h09 L’année prochaine, ils se souviendront de l’autre table ! 😉
GBertrand sur 4 septembre 2012 Ã 14h16 Mais auparavant, il faut gagner la partie d’allumettes. “Je peux perdre, mais je gagne toujours…”
Brigitte David sur 4 septembre 2012 à 15h05 Etait-ce vraiment si bien que ça Marienbad? N’était-ce pas plutôt un sommet dans la sophistication et la prétention d’une rare complaisance?
Ben sur 4 septembre 2012 à 15h06 En voyant la photo, j’ai perdu l’équilibre! 😉 Beau N&B et belle compo!
Bernard Lv sur 4 septembre 2012 à 15h28 La perte de repère et l’inversion du monde est très sympa, beau tirage
Leotempo sur 5 septembre 2012 à 8h06 Qu’apporterait la couleur dans cette ambiance d’ombre et de lumière ? Le noir et blanc garde le côté intemporel…
Brigitte David sur 5 septembre 2012 à 9h16 Le point de vue écrase quand même les perspectives. Cet aplat casse tout. Et la vision diagonale tue pour moi ce qu’il y a de hiératique, dans cet ordonnancement rigoureusement symétrique. Les lampes qui sont censées donner une certaine profondeur ont des airs de lampes de camping-gaz. Déjà Marienbad je me demande… Mais là vous l’achevez. Bon. C’est peut-être aujourd’hui…
Stéphane.Br sur 5 septembre 2012 à 15h49 Comme souvent chez GBertrand, cette fois encore, l’art de créer le mystère avec peu, mais toujours avec un vrai souci plastique. Moins convaincu par la référence au film d’Alain Resnais, mais pas aussi vindicative que Brigitte David qui s’y reprend à 2 fois pour agresser avec peu d’intelligence la photo et son auteur. J’aime bien ce blog pour ce qu’on y voit et pour la qualité des échanges où les participants ont l’air de se respecter.
brigitte david sur 5 septembre 2012 à 16h50 @Stephane brrrr… Et de trois. La première fois je voulais dire qu’il ne suffisait pas d’évoquer Marienbad pour y être. La question de la pérennité d’une oeuvre en dehors des modes – et Marienbad s’inscrivait dans cette recherche acharnée de distanciation – me paraît une vraie question. Ma deuxième intervention tenait à la photo elle-même. Aux angles, aux perspectives, à la lumière, au cadrage… On me reproche souvent le côté lapidaire de certaines critiques je pensais plus respectueux de dire pourquoi… G Bertrand je vous assure de mon attention à vos photos et du respect qui vous est dû. Quant à l’intelligence… Ma foi, je suporterais volontiers la taille au-dessus! Pas vous?
GBertrand sur 5 septembre 2012 à 17h03 Franchement, j’aurais mieux fait d’intituler autrement cette “image”. Marienbad est le premier titre qui m’est venu à l’esprit, à cause, sans doute, des éclairages multiples, du noir et blanc et de l’ambiance “feutrée” et surréalisante de ce film que j’aime bien, mais que je n’ai plus vraiment en mémoire. La preuve: la version couleurs de cette photographie, maintenant sur mon site, s’appelle: “Un petit souper”.
GBertrand sur 12 septembre 2012 à 13h42 Toujours, l’année d'”avant” à Marienbad, sauf peut-être pour Barbara dont le souvenir paraît plus lointain: “Mais si vous m’appeliez, un de ces temps prochains, Pour parler un instant aux croix de nos chemins, J’ai changé, sachez-le, mais je suis comme avant, Comme me font, me laissent, et me défont les temps, J’ai gardé près de moi l’étole d’engoulevent, Les grands gants de soie noire et l’anneau de diamant…”
L’année prochaine, ils se souviendront de l’autre table !
😉
Mais auparavant, il faut gagner la partie d’allumettes.
“Je peux perdre, mais je gagne toujours…”
Etait-ce vraiment si bien que ça Marienbad? N’était-ce pas plutôt un sommet dans la sophistication et la prétention d’une rare complaisance?
En voyant la photo, j’ai perdu l’équilibre! 😉
Beau N&B et belle compo!
La perte de repère et l’inversion du monde est très sympa, beau tirage
Et, en couleurs ?
Qu’apporterait la couleur dans cette ambiance d’ombre et de lumière ? Le noir et blanc garde le côté intemporel…
Le point de vue écrase quand même les perspectives. Cet aplat casse tout. Et la vision diagonale tue pour moi ce qu’il y a de hiératique, dans cet ordonnancement rigoureusement symétrique. Les lampes qui sont censées donner une certaine profondeur ont des airs de lampes de camping-gaz. Déjà Marienbad je me demande… Mais là vous l’achevez.
Bon. C’est peut-être aujourd’hui…
Comme souvent chez GBertrand, cette fois encore, l’art de créer le mystère avec peu, mais toujours avec un vrai souci plastique.
Moins convaincu par la référence au film d’Alain Resnais, mais pas aussi vindicative que Brigitte David qui s’y reprend à 2 fois pour agresser avec peu d’intelligence la photo et son auteur.
J’aime bien ce blog pour ce qu’on y voit et pour la qualité des échanges où les participants ont l’air de se respecter.
@Stephane brrrr… Et de trois. La première fois je voulais dire qu’il ne suffisait pas d’évoquer Marienbad pour y être.
La question de la pérennité d’une oeuvre en dehors des modes – et Marienbad s’inscrivait dans cette recherche acharnée de distanciation – me paraît une vraie question.
Ma deuxième intervention tenait à la photo elle-même. Aux angles, aux perspectives, à la lumière, au cadrage… On me reproche souvent le côté lapidaire de certaines critiques je pensais plus respectueux de dire pourquoi… G Bertrand je vous assure de mon attention à vos photos et du respect qui vous est dû.
Quant à l’intelligence… Ma foi, je suporterais volontiers la taille au-dessus! Pas vous?
je supporterais… encore zappé!
Franchement, j’aurais mieux fait d’intituler autrement cette “image”.
Marienbad est le premier titre qui m’est venu à l’esprit, à cause, sans doute, des éclairages multiples, du noir et blanc et de l’ambiance “feutrée” et surréalisante de ce film que j’aime bien, mais que je n’ai plus vraiment en mémoire.
La preuve: la version couleurs de cette photographie, maintenant sur mon site, s’appelle: “Un petit souper”.
Un peu trop déstabilisant à mes yeux.
C’est une photo de l’année dernière ?
Toujours, l’année d'”avant” à Marienbad,
sauf peut-être pour Barbara dont le souvenir paraît plus lointain:
“Mais si vous m’appeliez, un de ces temps prochains,
Pour parler un instant aux croix de nos chemins,
J’ai changé, sachez-le, mais je suis comme avant,
Comme me font, me laissent, et me défont les temps,
J’ai gardé près de moi l’étole d’engoulevent,
Les grands gants de soie noire et l’anneau de diamant…”