Apprenti en argentique avec ses labos rouges aux odeurs lourdes de leurs soupes chimiques avant d'évoluer vers le numérique et ses MégaOctets électroniques impalpables et inodores, depuis 50 ans mais toujours Photographe Amateur
Je n’y risque de toute façon que très peu de cheveux !
alain-michel boley
sur 18 juillet 2012 à 14h04
Le cadrage (je sais que vous y tenez) est prenant, mystérieux.
Ce qui me gêne est, à la fois de nature plus littéraire, à savoir cet autoportrait en ombre; et, plus prosaïquement, la bretelle de l’appareil photo qui gâche le modelé de la silhouette. Puisque vous réussissez bien à définir les éléments d’accroche (fenêtre ou cadre, escalier, matière murale) autant que leur dosage en lumière , pourquoi ne pas se “lancer” dans une création qui ne tienne que par ces ingrédients ?
😉
@ Irène : je vais bientôt me risquer un peu plus : j’ai un autre autoprotrait, un vrai petit nectar renversant mais je ne vais pas l’utiliser tout de suite, ce site n’est pas un auto-trombinoscope !
@ AMB : oui, tu as raison ! La bretelle est une impureté sur cette photo. Mais je n’ai pas voulu la retirer (et ce n’était pas très difficile à faire). J’ai soigné le rendu de l’ombre pour le déboucher juste le nécessaire et j’ai laissé cette ombre disgracieuse mais naturelle. Encore ai-je pris le temps (à la prise de vue) de poser le pied et de me tourner un peu pour éviter trop d’ombres de bretelles de mon sac à dos
Merci de vos commentaires à tous les deux !
C’est bien l’ombre d’un photographe et la bretelle en tension du sac (photo?), la misère de son épaule a bien sa place ici. Pour l’autotrombinoscope, je ne citerai pas de nom ! 😉
Un autoportrait sans risque… 😉
Je n’y risque de toute façon que très peu de cheveux !
Le cadrage (je sais que vous y tenez) est prenant, mystérieux.
Ce qui me gêne est, à la fois de nature plus littéraire, à savoir cet autoportrait en ombre; et, plus prosaïquement, la bretelle de l’appareil photo qui gâche le modelé de la silhouette. Puisque vous réussissez bien à définir les éléments d’accroche (fenêtre ou cadre, escalier, matière murale) autant que leur dosage en lumière , pourquoi ne pas se “lancer” dans une création qui ne tienne que par ces ingrédients ?
😉
@ Irène : je vais bientôt me risquer un peu plus : j’ai un autre autoprotrait, un vrai petit nectar renversant mais je ne vais pas l’utiliser tout de suite, ce site n’est pas un auto-trombinoscope !
@ AMB : oui, tu as raison ! La bretelle est une impureté sur cette photo. Mais je n’ai pas voulu la retirer (et ce n’était pas très difficile à faire). J’ai soigné le rendu de l’ombre pour le déboucher juste le nécessaire et j’ai laissé cette ombre disgracieuse mais naturelle. Encore ai-je pris le temps (à la prise de vue) de poser le pied et de me tourner un peu pour éviter trop d’ombres de bretelles de mon sac à dos
Merci de vos commentaires à tous les deux !
C’est bien l’ombre d’un photographe et la bretelle en tension du sac (photo?), la misère de son épaule a bien sa place ici. Pour l’autotrombinoscope, je ne citerai pas de nom ! 😉
Il y a des autotrombinoscope plus sympa que d’autre, je ne suis pas sûr de rameuter les foules … et donc une certaine prudence à la publication !