Eric Boumard-Charrier
Si je photographie en chemin, je sais que j'aurais tenté une part du difficile...
« Une respiration, pour moi, un mouvement presque vital, prendre une photo, un geste pourtant démocratisé, généralisé et banal aujourd’hui, sauf pour quelques uns…
Des milliers de kilomètres parcourus, de reportages sociaux, à des instants de vie dans la rue, des photos et toujours ce lien à l’appareil, l’œil, une extension de mon regard, un fil tendu .
J’observe, j’écoute, je laisse la place à l’instinct, ces moments magiques offerts…
Jamais lécher, toujours le plus proche du naturel, de cette vérité à l’état pure…capturer l’instant ! »
J’aime beaucoup cette photo (qui semble faire partie d’une série). Les gris doux, le virage me semblent pertinents. Par contre, la bordure en pseudo-plaque de verre dégradée n’a, à mon avis, rien à faire avec le sujet, et sacrifie à une mode assez absurde de faux vintage!
La situation fonctionne d’une manière parfaite; les deux acteurs de gauche sont excellents!
J’abonde dans le sens de Blagapart.
Bravo!…mais un bémol pour le post traitement vintage ( pourquoi ce choix ?) , F
Je suis fan. Les personnes âgées auraient pu être enlevées mais elles ne me gène pas plus que ça non plus. Beau travail !
Comme pour Inclinaison, une certaine fixité dans la pose, contrastant avec son mouvement, emmène l’image plus loin dans l’étrangeté…
Le haricot sauteur a quelque chose de Warhol.Le fait qu’il soit en lévitation n’a pas l’air de gêner les passants. Très drôle cette confrontation …
@ Clémentine. Le haricot sauteur ne me gêne pas. Les personnes âgées ne me gênent pas…E-N-T !
Petit happening ou photo “posée” (si j’ose dire)?
Très réussi.
Mais la transformer en format carré, en coupant une bonne partie des immeubles de droite, ne lui donnerait-il pas plus d’impact ?
La fantaisie m’était entrée quelque temps auparavant dans l’esprit,un cadre dynamaique fut aussi un choix libre comme un saut!
pour l’impact, pourquoi pas…
cordialement à vous.
J’ai beaucoup de mal à faire ce genre de photo, j’aurais plutôt tendance à travailler sur pied. Je ne serai jamais un reporter comme certains d’entre vous et du coup, je suis toujours un peu admiratif de ces clichés
Après une fréquentation répétée de cette photographie, il me semble qu’elle mélange trop d’éléments et de références contradictoires. Ca rend trop difficile une entrée spontanée (et sans regret) dans l’image.
A chacun ses exploits, puisqu’il est inutile de comparer…