A propos de moi... Je vis au Havre, j'aime la photographie contemporaine sans oublier celle qui fut à l'origine de mon intéret pour l'image. Si ce n'est pas clair pour vous, sachez que ça l'est encore moins pour moi.
Mon espace photographie... Andreas Seranno, James Natchwey, Michel Comte, Jeanloup sieff, Hiroshi Osaka, David Lynch et bien sûr Portishead.
Pourrais-tu développer un peu, Alain-Michel ?
;- )
alain-michel boley
sur 30 mai 2012 à 20h32
Rien n’est laissé au hasard, puisque toutes les lignes, tous les éléments graphiques — y compris ceux qui d’ordinaire caractérisent des nuisances surtout en photographie — tous les signes de ce qui est une portion de zone industrielle sont disposés (c’est à dire montrés) avec le souci de cette perfection idéale que l’on peut voir sur les perspectives de plan d’architecte.
Le mur d’enceinte est le centre de ce qui pourrait apparaître aussi comme un décor. Posé sur lui, les lignes à haute tension. Sous la ligne de faîte de ce mur, le déroulé des meurtrières semble reproduire pylônes et lignes dans une miniature enrichie par l’ondulation du végétal; puis la bâtisse en elle-même, résumée à un angle de toiture et une opposition tonale.
Enfin, dans sa partie inférieure, vient s’y échouer l’ombre, partie du premier plan et en écho des lignes de la partie haute.
Je ne parierai pas qu’il agit de celle d’un pylône, mais… rien n’est laissé au hasard…
Le coffret électrique, si neuf, me fait beaucoup rire.
😉
Olivier R.
sur 1 juin 2012 à 13h19
Tu aurais dû parier, AMB… Et même réaction que toi sur l’anachronisme inverse du coffret électrique.
Rien n’est laissé au hasard…
😉
On n’y voit que du rouge. C’est lassant.
Pourrais-tu développer un peu, Alain-Michel ?
;- )
Rien n’est laissé au hasard, puisque toutes les lignes, tous les éléments graphiques — y compris ceux qui d’ordinaire caractérisent des nuisances surtout en photographie — tous les signes de ce qui est une portion de zone industrielle sont disposés (c’est à dire montrés) avec le souci de cette perfection idéale que l’on peut voir sur les perspectives de plan d’architecte.
Le mur d’enceinte est le centre de ce qui pourrait apparaître aussi comme un décor. Posé sur lui, les lignes à haute tension. Sous la ligne de faîte de ce mur, le déroulé des meurtrières semble reproduire pylônes et lignes dans une miniature enrichie par l’ondulation du végétal; puis la bâtisse en elle-même, résumée à un angle de toiture et une opposition tonale.
Enfin, dans sa partie inférieure, vient s’y échouer l’ombre, partie du premier plan et en écho des lignes de la partie haute.
Je ne parierai pas qu’il agit de celle d’un pylône, mais… rien n’est laissé au hasard…
Le coffret électrique, si neuf, me fait beaucoup rire.
😉
Tu aurais dû parier, AMB… Et même réaction que toi sur l’anachronisme inverse du coffret électrique.
Personne d’autre pour me la passer à l’essoreuse ?