10 Commentaires
  1. Bienvenue sur LVEG, un cadrage graphique bien choisi.
    Mais lire dans à propos : “Publiez donc régulièrement des photos bien choisies plutôt qu’une salve d’images d’un coup. Deux ou trois photos par semaine est déjà un rythme soutenu.”

  2. Dans une photographie d’architecture, on ne sait jamais trop ce que l’on doit à l’architecte et ce que l’on doit au photographe. Dans les deux que vous avez envoyées, vous montrez en tout cas que vous avez su voir ce que voulait dire l’architecte, grâce à une technique, par ailleurs tout à fait au point.

  3. On pourrait en dire autant d’une photo de paysage, que doit-on au photographe, que doit-on à la nature ? Personnellement, je dirais que les 2 œuvres sont distinctes. Il y a sans doute des dizaines de photo de ce bâtiment qui n’ont aucun intérêt pourtant la qualité de l’architecture ne fait aucun doute.

  4. Une différence essentielle: la nature n’est pas commandée ou maitrisée (ou bien alors par un dieu qui serait le “grand architecte”, certains l’ont affirmé) et change sans cesse, ce qui n’est le cas que de la lumière pour l’architecture, et que vous avez fort bien saisie et rendue dans vos deux photographies, très bonnes, toutes choses égales par ailleurs, comme on dit.

  5. Ce bâtiment se caractérise comme tout un chacun peut le voir par ses courbes et vous avez justement coupé celle-ci à droite d’une manière assez surprenante, pleine d’hésitation.

    Voici ce que l’on peut trouver sous le même angle, certes très classique mais au moins avec un choix graphique affirmé 😉

  6. Franchement, je préfère celle de Sebk: le parti pris est plus fort et esthétiquement plus audacieux.

  7. Pas mal du tout, ce que je préfère c’est cette espèce de déconstruction du nom du musée.

  8. @ François. Ce que je reproche ici c’est qu’il n’y a pas de parti pris justement, çà tangente sans décider. L’autre en lien est banale certes, mais assumée.

  9. @Bernard. Je comprends mieux et je persiste: le volume, tiré au cordeau envahit toute la surface de l’image, avec ses strates et ses gris réguliers, et donne à la base une rare puissance d’appui pour l’ensemble. Rien de tout cela n’existe dans l’autre photo.

  10. Je suis d’accord avec François, l’intérêt graphique se perd dans le cadre large de l’autre photo où l’œil est distrait par le bâtiment en arrière plan sans intérêt. La coupure du nom me plait particulièrement aussi.

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