blagapart

longue histoire...
9 Commentaires
  1. Une approche plutôt frontale !
    😉

  2. Les courbes sont trop techniques, trop architecturales pour moi, j’aurais bien vu des crayonnés comme auparavant/paravent, des études comme approches, des esquisses comme esquives …. et à la limite au vu de ce qui est proposé, les arabesques au sol suffisaient.

  3. !&@-)oiutza

  4. Certes, bien propre et net !
    Mais une carte postale début XXe, une gare où les passagers n’attendent aucun train, un marquage au sol pour un jeu oublié, le marque-page d’un livre de géométrie retrouvé. Des courbures du temps.

  5. Etudier la courbe du désir dans une lumière hivernale , à midi, à l’heure où de braves gens font leur plein de vitamine D ce n’est pas sérieux. Et traiter le désir à la façon dont on mesure dans le ciel la distance entre les astres, ça me paraît un peu clinique, sinon désabusé! Mais bon, faire le point en abscisses et en ordonnées, ça ne mange pas de pain.

  6. Le commentaire sous arobase est de mon cru. Encore un mystère du zapping informatique…

  7. J’ai pris un petit miroir et j’ai lu, “branche infinie parabolique”, puis je suis allée voir de quoi il s’agissait.. “il existe parfois des points de la courbe qui s’éloignent infiniment de l’origine du repère” et ça j’ai trouvé infiniment poétique! 😉

  8. J’avais cru que c’était du russe… Le com d’Irène me renvoie bizarrement à ces notes sur Rebecca Horn

    “Deux longues tiges d’acier ou de fonte en demi-cercle, mues par un mécanisme, s’élèvent avec une lenteur consommée, finissent par se rejoindre. Un éclair en jaillit, c’est fini. Epuisés les deux bras retombent, infiniment lourds, infiniment lents, avant de remettre ça avec la même lenteur, la même incertitude dans l’issue d’un tel effort, pour la fraction de seconde d’illumination. C’est « le Baiser du Rhinocéros ». Notes sur Rebecca Horn…

  9. Merci à tous.
    @Brigitte : le premier com (!&@-)oiutza) m’avait laissé perplexe, mais, à la réflexion, je l’avais trouvé pertinent, vue la proposition. Les suivants , comme d’habitude, vivent leur vie en baignant la photo d’une lumière paradoxale. J’aime beaucoup tes commentaires inattendus.
    @Irène: mes élèves ne sont pas sensibles à cette poésie…dommage.
    @Bernard : je cherche…
    @Hervé et Alain Michel : c’est bien l’ambiance, pour le meilleur ou pour le pire

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