J’ai toujours aimé les ambiances de Lavomatic. Ça rutile et ça brasse. C’est un peu comme cela qu’on devait imaginer un monde dominé par les robots dans les années 50. Sur celle-ci, la position de l’homme, assez martiale, qui semble cependant hésiter entre les noirs et les blancs pour sa partie d’échec, est un vrai plus.
Francoise
sur 28 mars 2012 à 15h53
Le damier noir et blanc donne une nouvelle dimension à la photo. L’allure de l’homme se tenant debout ajoute à l’ambiance. On semble être dans un monde étrange.
Il a forcé sur l’amidon !
L’agent Lemmy Caution ne sait pas quelle porte de machine pousser…
J’aime le commentaire de Francis sur le modernisme vu dans les années 50 (60?).
Bref, c’est propre, c’est bien !
Goodspeed
sur 28 mars 2012 à 16h51
Excellent ! … Sentiment qu’une des machines va remporter le droit de s’occuper de ce costard … la machine va choisir ….
Superbement rutilant ces chromes !
Bien vu le damier noir et blanc avec en prime cette silhouette si raide en costume noir.
Que fait il là ?
Beau travail
@+
rvmarec
sur 28 mars 2012 à 21h31
Un côté “Playtime” dans cette belle photo, avec un agent secret perdu dans la laverie 🙂 Le commentaire de Francis est parfaitement pertinent, je ne saurais faire mieux
Brigitte David
sur 28 mars 2012 à 21h31
Depuis My beautiful laundrette , moi les lavomatic…. C’est moins bien!
Bernard Lv
sur 28 mars 2012 à 22h02
Le décalage de ce personnage au maintien si martial dans ce lieu est très bien vu. Très belle construction géométrique.
Pour créer un décalage encore plus grand, un côté encore plus surréaliste, tu aurais pu faire le ménage et enlever les papiers au sol, qui eux nous ramènent dans la réalité brute … 😉
mazeas
sur 29 mars 2012 à 13h17
Il va dans le mur mais il est si déterminé… aucun doute il va se faire absorber par la matière et passer dans une autre dimension.
Comme Blagapart, pour moi un coté science fiction
taquin
sur 29 mars 2012 à 20h11
La photo comme le commentaire de Francis m’ont fait effectivement, comme l’écrit rvmarec, penser à Playtime.
Mais où va donc cet homme sans reflet pris par un photographe invisible ?
Une belle expression de l’irréel.
Francis Leplay
sur 29 mars 2012 à 21h09
C’est drôle, Hervé. Hier soir, enfumé par la ganja, je me suis fait la même réflexion. Et après moult réflexions et tergiversations, j’en ai déduit qu’il ne s’agissait pas d’une glace, mais qu’une petite marche prolongeait l’espace (ce qui expliquerait l’absence de reflets de l’homme et du photographe.) A vrai dire, maintenant que les effets de la fumée ont cessé, je n’en suis plus tout à fait sûr. Peut-être pourrons nous avoir à ce sujet un petit mot d’AMB qui n’en est pas avare 🙂
bernard Lv
sur 29 mars 2012 à 22h55
@ hervé
Toi aussi, comme moi dans un premier temps tu t’es fait avoir… tu as cru qu’il y avait un miroir …. eh non 😉
Henri
sur 30 mars 2012 à 5h44
on a tous eu la même vision , avec ou sans fumette… 🙂
Hors la création, point de salut. C’est le jeu, Francis !
😉
Cet homme attendait la fin d’un cycle dans un Lavomatic d’Alphaville. Il faisait les cent pas dans cet espace à la fois confiné et multiple, dans lequel j’imagine toujours la suite des aventures du privé à Babylone.
Il a aimablement accepté d’entrer dans une composition photographique à condition de rester incognito. C’est à dire : continuer de faire les cent pas…
Le bonheur est souvent à une marche près.
Pour Playtime, il faut encore que je me renseigne…
@ Brigitte = “His Beautiful Laundrette” 😀
Merci à tous-tes pour vos avis.
@ Brigitte David = Merci d’aller chercher sur Google !
Comme vous n’aviez pas l’air d’apprécier cette photo, je n’ai pas voulu insister sur le fait que “His Beautiful Laundrette” est son titre sur mon site !
Voir : ici
😀
Régis Gayraud
sur 3 avril 2012 à 13h23
De très belles photos, celle-ci bien sûr et aussi les autres, surtout Marathon Man, et la femme tchadorisée dans son pull-over. Alain-Michel Boley !… Que de souvenirs ! … Trente ans déjà ! L’appartement presque salubre près des Buttes-Chaumont, les réunions velléitaires au café près de la Bastille, à l’entrée de la rue de Lappe, avec Jocelyne, Rachel, Roland, Bruno…
Ça aurait presque pu faire une jaquette pour Kraftwerk … “The robot”, “Man machine” ou “les mannequins” … Très belle image !
Loïs
sur 6 avril 2012 à 16h07
La photo de Mars.
alain-michel boley
sur 7 avril 2012 à 12h10
@ le gen = Vous êtes en train de me dire qu’il aurait été préférable de faire cette photo il y a trente ans ! 😀
@ Loïs = Prise par un Terrien !
😉
Merci de vos avis.
Sylvain.B
sur 8 avril 2012 à 12h07
Vous avez ressuscité Andy Warhol pour la photo?
mazeas
sur 8 avril 2012 à 19h21
Très drôle Sylvain, je me suis fait la même réflexion!
alain-michel boley
sur 8 avril 2012 à 21h43
@ Sylvain.B et Mazeas = La prochaine fois, j’essayerai en RAW (Reverse Andy Warhol)… Là, j’ai eu beau retourner le neg dans tous les sens, je n’ai pas réussi à le voir de face !
😀
Merci de vos avis
@ alain-michel : je n’ai jamais sous-entendu qu’il aurait été MIEUX de la prendre il y a 30 ans 🙂 .. Elle est parfaitement intemporelle ( d’ailleurs, certains y voient Andy Warhol, comme quoi .. 🙂 )
J’ai toujours aimé les ambiances de Lavomatic. Ça rutile et ça brasse. C’est un peu comme cela qu’on devait imaginer un monde dominé par les robots dans les années 50. Sur celle-ci, la position de l’homme, assez martiale, qui semble cependant hésiter entre les noirs et les blancs pour sa partie d’échec, est un vrai plus.
Le damier noir et blanc donne une nouvelle dimension à la photo. L’allure de l’homme se tenant debout ajoute à l’ambiance. On semble être dans un monde étrange.
Il a forcé sur l’amidon !
L’agent Lemmy Caution ne sait pas quelle porte de machine pousser…
J’aime le commentaire de Francis sur le modernisme vu dans les années 50 (60?).
Bref, c’est propre, c’est bien !
Excellent ! … Sentiment qu’une des machines va remporter le droit de s’occuper de ce costard … la machine va choisir ….
Superbement rutilant ces chromes !
Bien vu le damier noir et blanc avec en prime cette silhouette si raide en costume noir.
Que fait il là ?
Beau travail
@+
Un côté “Playtime” dans cette belle photo, avec un agent secret perdu dans la laverie 🙂 Le commentaire de Francis est parfaitement pertinent, je ne saurais faire mieux
Depuis My beautiful laundrette , moi les lavomatic…. C’est moins bien!
Le décalage de ce personnage au maintien si martial dans ce lieu est très bien vu. Très belle construction géométrique.
Pour créer un décalage encore plus grand, un côté encore plus surréaliste, tu aurais pu faire le ménage et enlever les papiers au sol, qui eux nous ramènent dans la réalité brute … 😉
Il va dans le mur mais il est si déterminé… aucun doute il va se faire absorber par la matière et passer dans une autre dimension.
Comme Blagapart, pour moi un coté science fiction
La photo comme le commentaire de Francis m’ont fait effectivement, comme l’écrit rvmarec, penser à Playtime.
Très sympa !
Mais où va donc cet homme sans reflet pris par un photographe invisible ?
Une belle expression de l’irréel.
C’est drôle, Hervé. Hier soir, enfumé par la ganja, je me suis fait la même réflexion. Et après moult réflexions et tergiversations, j’en ai déduit qu’il ne s’agissait pas d’une glace, mais qu’une petite marche prolongeait l’espace (ce qui expliquerait l’absence de reflets de l’homme et du photographe.) A vrai dire, maintenant que les effets de la fumée ont cessé, je n’en suis plus tout à fait sûr. Peut-être pourrons nous avoir à ce sujet un petit mot d’AMB qui n’en est pas avare 🙂
@ hervé
Toi aussi, comme moi dans un premier temps tu t’es fait avoir… tu as cru qu’il y avait un miroir …. eh non 😉
on a tous eu la même vision , avec ou sans fumette… 🙂
Hors la création, point de salut. C’est le jeu, Francis !
😉
Cet homme attendait la fin d’un cycle dans un Lavomatic d’Alphaville. Il faisait les cent pas dans cet espace à la fois confiné et multiple, dans lequel j’imagine toujours la suite des aventures du privé à Babylone.
Il a aimablement accepté d’entrer dans une composition photographique à condition de rester incognito. C’est à dire : continuer de faire les cent pas…
Le bonheur est souvent à une marche près.
Pour Playtime, il faut encore que je me renseigne…
@ Brigitte = “His Beautiful Laundrette” 😀
Merci à tous-tes pour vos avis.
J’ai toujours trouvé les lumières trop crues dans les lavomatics…
En Belgique cela s’appelle des Wasserettes… 😉
@AMB “His” vraiment?… Je viens de vérifier sur Google. I’m right dear.
@ Irène de Groot = La lumière n’est pas fameuse en tant que telle, il est vrai, mais cela n’empêche pas : De prachtige wasserette !
😉
@ Brigitte David = Merci d’aller chercher sur Google !
Comme vous n’aviez pas l’air d’apprécier cette photo, je n’ai pas voulu insister sur le fait que “His Beautiful Laundrette” est son titre sur mon site !
Voir : ici
😀
De très belles photos, celle-ci bien sûr et aussi les autres, surtout Marathon Man, et la femme tchadorisée dans son pull-over. Alain-Michel Boley !… Que de souvenirs ! … Trente ans déjà ! L’appartement presque salubre près des Buttes-Chaumont, les réunions velléitaires au café près de la Bastille, à l’entrée de la rue de Lappe, avec Jocelyne, Rachel, Roland, Bruno…
@ Régis = Merci de ton passage ici !
Et dire que que je pensais que tu n’étais jamais revenu de Kiev !
😀
Ça aurait presque pu faire une jaquette pour Kraftwerk … “The robot”, “Man machine” ou “les mannequins” … Très belle image !
La photo de Mars.
@ le gen = Vous êtes en train de me dire qu’il aurait été préférable de faire cette photo il y a trente ans ! 😀
@ Loïs = Prise par un Terrien !
😉
Merci de vos avis.
Vous avez ressuscité Andy Warhol pour la photo?
Très drôle Sylvain, je me suis fait la même réflexion!
@ Sylvain.B et Mazeas = La prochaine fois, j’essayerai en RAW (Reverse Andy Warhol)… Là, j’ai eu beau retourner le neg dans tous les sens, je n’ai pas réussi à le voir de face !
😀
Merci de vos avis
@ alain-michel : je n’ai jamais sous-entendu qu’il aurait été MIEUX de la prendre il y a 30 ans 🙂 .. Elle est parfaitement intemporelle ( d’ailleurs, certains y voient Andy Warhol, comme quoi .. 🙂 )
@ Le Gen = Mais j’aurais bien aimé la faire aussi il y a trente ans !
Et la voir en couv’ d’un LP de Kraftwerk…
😀
Effectivement aujourd’hui à première vue Andy Warhol…