Francis Leplay sur 19 mars 2012 à 9h47 Je suis un peu partagé sur celle-ci, Hervé. Belle composition et dynamique. Mais j’ai un peu ce sentiment d’irréalité des rivières qui s’écoulent sur les murs des restaurants chinois. Peut-être un peu kitsch donc, mais pas sans qualité. Island?
hervé sur 19 mars 2012 à 19h32 C’est bien un rouleau de printemps islandais, peut-être un “zoom in” pour faire moins syndrome du restaurant chinois 😉
Brigitte David sur 20 mars 2012 à 7h37 J”aime ce bouillonnement, cette matière de l’eau, la bande noire de la rive. Très belle. … “ce sentiment d’irréalité des rivières qui s’écoulent sur les murs des restaurants chinois” Comme tu y vas Francis. Les rivières de tes restaurants chinois m’ont l’air d’être des torrents.Mais ton com pose la question du regard . Qui regarde et comment, à quel moment… Parfois on voit, parfois non.
Bernard Lv sur 20 mars 2012 à 12h37 Bon, c’est pas du jeu si tu changes ta photo en cours de route …. sais-tu que tu pouvais mettre cette seconde juste en-dessous de ta première ? Je suis moins emballé par celle-ci (même si la force est bien représentée, même s’il y a une intensité indéniable) que par la précédente, et je ne suis toujours pas convaincu par cette colorisation rosâtre. (blague) Tu ne veux pas essayer le bocal de tes poissons chinois maintenant ? 😉
blagapart sur 20 mars 2012 à 13h14 Les deux me plaisent par leur force. On retrouve la fraîcheur des premières photographies, l’émerveillement de pouvoir capter la présence forte des éléments. Quant au virage, je suis plutôt réservé…
hervé sur 20 mars 2012 à 15h44 Merci à vous et d’accord pour le virage rosâtre, j’essayais de dramatiser l’image, mais pas non plus convaincu a posteriori, la première en dessous au 1/25e (28mm) et l’autre au 1/500e (80mm). Le titre répété à voix et tonalité haute est le chant d’un oiseau qui n’habite pas cette contrée. 😉
Francis Leplay sur 20 mars 2012 à 17h40 Oui, Hervé, je préfère cette version. On a envie d’y plonger tout entier plutôt que de simplement y tremper les baguettes 🙂
Kora sur 20 mars 2012 à 18h08 Une nette préférence pour la 2. Belle composition un ciel dur est chargé et le bouillonnement de l’eau tout en douceur @+
alain-michel boley sur 20 mars 2012 à 19h25 Ah, je me disais aussi qu’il en manquait un bout ! La deuxième, sans hésiter…
Henri sur 23 mars 2012 à 19h38 Difficile de faire un choix , la seconde pour l’impression ” irréalité” , mais la première pour l’impression d’être au cÅ“ur des éléments …
Je suis un peu partagé sur celle-ci, Hervé. Belle composition et dynamique. Mais j’ai un peu ce sentiment d’irréalité des rivières qui s’écoulent sur les murs des restaurants chinois. Peut-être un peu kitsch donc, mais pas sans qualité. Island?
C’est bien un rouleau de printemps islandais, peut-être un “zoom in” pour faire moins syndrome du restaurant chinois 😉
J”aime ce bouillonnement, cette matière de l’eau, la bande noire de la rive. Très belle.
… “ce sentiment d’irréalité des rivières qui s’écoulent sur les murs des restaurants chinois” Comme tu y vas Francis. Les rivières de tes restaurants chinois m’ont l’air d’être des torrents.Mais ton com pose la question du regard . Qui regarde et comment, à quel moment… Parfois on voit, parfois non.
Bon, c’est pas du jeu si tu changes ta photo en cours de route …. sais-tu que tu pouvais mettre cette seconde juste en-dessous de ta première ?
Je suis moins emballé par celle-ci (même si la force est bien représentée, même s’il y a une intensité indéniable) que par la précédente, et je ne suis toujours pas convaincu par cette colorisation rosâtre.
(blague) Tu ne veux pas essayer le bocal de tes poissons chinois maintenant ? 😉
Les deux me plaisent par leur force. On retrouve la fraîcheur des premières photographies, l’émerveillement de pouvoir capter la présence forte des éléments. Quant au virage, je suis plutôt réservé…
Merci à vous et d’accord pour le virage rosâtre, j’essayais de dramatiser l’image, mais pas non plus convaincu a posteriori, la première en dessous au 1/25e (28mm) et l’autre au 1/500e (80mm).
Le titre répété à voix et tonalité haute est le chant d’un oiseau qui n’habite pas cette contrée. 😉
Oui, Hervé, je préfère cette version. On a envie d’y plonger tout entier plutôt que de simplement y tremper les baguettes 🙂
Une nette préférence pour la 2.
Belle composition un ciel dur est chargé et le bouillonnement de l’eau tout en douceur
@+
Ah, je me disais aussi qu’il en manquait un bout !
La deuxième, sans hésiter…
La deuxième pour sûr.
Difficile de faire un choix , la seconde pour l’impression ” irréalité” , mais la première pour l’impression d’être au cÅ“ur des éléments …