alain-michel boley sur 13 janvier 2012 à 13h01 Une version minimaliste et silencieuse du jeux des chaises musicales ?
Irène de Groot sur 13 janvier 2012 à 15h44 A qui le tour? C’est la question que je me pose souvent! 😉 J’aime beaucoup cette image, elle donne à imaginer plein d’histoires…
hervé sur 13 janvier 2012 à 18h06 Est-ce le départ de la passe-muraille, https://www.lavieengris.com/?p=29610 Cette fois, une “image” très simple, épurée !
cormac sur 13 janvier 2012 à 19h02 j’aime bcp, très simple et très expressive. Une question, d’où vient cette mort??
blagapart sur 13 janvier 2012 à 19h11 Merci à tous ! @cormac : c’est au musée de Dijon, des petites sculptures de pénitents, très expressives et assez célèbres, mais je ne sais plus ce que c’est. Les personnes cultivées de LVEG vont réagir !
Francis Leplay sur 13 janvier 2012 à 21h03 Bon, je dois avouer que j’ai du mal (mais c’est une histoire personnelle et familiale 🙂 ) à adhérer au papier peint, et je me suis un peu tenu à distance de cette série. Mais là , je retrouve la puissance évocatrice de cette photo qui m’avait vraiment marqué https://www.lavieengris.com/?p=25328 On retrouve la projection sur le mur et les chaises, vides cette fois. Mais contrairement aux autres, et malgré le titre, je n’y vois pas cette fois une image funèbre. Je la trouve même plutôt joyeuse. Je pense aux chaises de Ionesco, et je me dis, à qui le tour de jouer, de venir s’assoir et de nous raconter une histoire (sous le sceau du secret de la confession, bien sûr). Et puis on peut adapter sa vue comme on le veut: ou imaginer des très petites chaises pour enfants, ou s’imaginer une très grande fresque 🙂
Rudi64 sur 13 janvier 2012 à 22h26 J’aime bcp cette ambiance et comment la cape se termine harmonieusement avec l’enduit du mur. Et comme le disait si bien Dark Vador : “Je suis ton père, la chaise…”
Brigitte David sur 14 janvier 2012 à 10h08 Comme Lois, pas d’affollement. Inquiétante comme toujours chez Blagapart qui n’en finit pas de déchiffrer le langage effacé des murs. Cet encapuchonné ne serait pas déjà pendu?
blagapart sur 14 janvier 2012 à 12h45 @Francis : je l’ai voulue franchement funèbre ! Mais je suis rassuré qu’il y ait une vision optimiste et humaniste de cette image.
Une version minimaliste et silencieuse du jeux des chaises musicales ?
A qui le tour? C’est la question que je me pose souvent! 😉
J’aime beaucoup cette image, elle donne à imaginer plein d’histoires…
Je passe. 😉
Inutile de se presser!
Est-ce le départ de la passe-muraille, https://www.lavieengris.com/?p=29610
Cette fois, une “image” très simple, épurée !
j’aime bcp, très simple et très expressive. Une question, d’où vient cette mort??
Merci à tous !
@cormac : c’est au musée de Dijon, des petites sculptures de pénitents, très expressives et assez célèbres, mais je ne sais plus ce que c’est. Les personnes cultivées de LVEG vont réagir !
@blagapart: merci pour la réponse et 🙂
Bon, je dois avouer que j’ai du mal (mais c’est une histoire personnelle et familiale 🙂 ) à adhérer au papier peint, et je me suis un peu tenu à distance de cette série. Mais là , je retrouve la puissance évocatrice de cette photo qui m’avait vraiment marqué
https://www.lavieengris.com/?p=25328
On retrouve la projection sur le mur et les chaises, vides cette fois. Mais contrairement aux autres, et malgré le titre, je n’y vois pas cette fois une image funèbre. Je la trouve même plutôt joyeuse. Je pense aux chaises de Ionesco, et je me dis, à qui le tour de jouer, de venir s’assoir et de nous raconter une histoire (sous le sceau du secret de la confession, bien sûr). Et puis on peut adapter sa vue comme on le veut: ou imaginer des très petites chaises pour enfants, ou s’imaginer une très grande fresque 🙂
J’aime bcp cette ambiance et comment la cape se termine harmonieusement avec l’enduit du mur.
Et comme le disait si bien Dark Vador : “Je suis ton père, la chaise…”
Comme Lois, pas d’affollement. Inquiétante comme toujours chez Blagapart qui n’en finit pas de déchiffrer le langage effacé des murs. Cet encapuchonné ne serait pas déjà pendu?
@Francis : je l’ai voulue franchement funèbre ! Mais je suis rassuré qu’il y ait une vision optimiste et humaniste de cette image.