Jean-Marc Silvestre sur 21 décembre 2011 à 13h45 E2,E4 E7,E5 D2,D4 Plus de trois seconde dans la raquette : Pénalité !
Henri sur 21 décembre 2011 à 13h57 un univers très éloigné des précédentes parutions non?? mais ce n’est pas pour me déplaire , bien au contraire…
Bernard Lvq sur 21 décembre 2011 à 21h46 Bien joué !… Mais la photo n’est pas crédible…. as-tu vu un aigle lâcher sa proie ? 😉 J’aurais malgré cela coupé le haut de la photo jusqu’à la jointure des deux terrains (haut gauche) ou même jusqu’à éliminer l’ombre de l’immeuble. Là je trouve qu’il y a dispersion du regard.
GBertrand sur 22 décembre 2011 à 9h53 Mais Bernard Lvq chacun sait que, tel Cartier-Bresson, je ne recadre jamais mes photos. On ne voit pas les perforations de bordure du film, mais on doit me croire sur parole et cette oeuvre-ci, de…haute volée, en apporte la preuve. 1. L’aigle, aussi incroyable que cela paraisse, survolait bien ce jour-là , cet étonnant terrain de tennis. Et il avait l’air de bien s’amuser, l’aigle. 2. Comme, je le maintiens je ne recadre jamais, il reste évidemment cette ombre là -haut, je reconnais, un peu pesante. Mais si on analyse la (haute) symbolique du cliché, on peut la tenir comme une menace supplémentaire au-dessus de ce court tranquille. Et pour ceux que cette ombre effraierait, elle apparaît moins terrifiante dans la version couleurs: http://www.gerard-bertrand.net/rencontres_couleurs-aigle.html
Jean-Marc Silvestre sur 22 décembre 2011 à 13h24 “Bizarre, vous avez dit bizarre” 600×494 pix (rapport = 1,21) Vous avez réalisé l’image avec une chambre photographique soviétique. Nous avons les moyens de vous faire parler
GBertrand sur 22 décembre 2011 à 13h43 Exact ! Une photo prise pendant la guerre froide depuis un hélicoptère russe Mi Mi-24 et visant l’emblème de l’impérialisme américain, alors qu’il bombardait d’innocents lieux de loisirs prolétariens.
Juliette Andreassen sur 12 novembre 2012 à 3h47 Alors là je dois dire bravo pour cette image, une vrai réussite et quel coup d’oeil ! un sujet comme cela dans ce décor, c’est totalement improbable et surréaliste mais c’est du pain béni pour un photographe !
E2,E4
E7,E5
D2,D4
Plus de trois seconde dans la raquette :
Pénalité !
un univers très éloigné des précédentes parutions non??
mais ce n’est pas pour me déplaire , bien au contraire…
Prométhée se cache sur les terrains de jeux…
Bien joué !…
Mais la photo n’est pas crédible…. as-tu vu un aigle lâcher sa proie ? 😉
J’aurais malgré cela coupé le haut de la photo jusqu’à la jointure des deux terrains (haut gauche) ou même jusqu’à éliminer l’ombre de l’immeuble.
LÃ je trouve qu’il y a dispersion du regard.
Mais Bernard Lvq chacun sait que, tel Cartier-Bresson, je ne recadre jamais mes photos. On ne voit pas les perforations de bordure du film, mais on doit me croire sur parole et cette oeuvre-ci, de…haute volée, en apporte la preuve.
1. L’aigle, aussi incroyable que cela paraisse, survolait bien ce jour-là , cet étonnant terrain de tennis. Et il avait l’air de bien s’amuser, l’aigle.
2. Comme, je le maintiens je ne recadre jamais, il reste évidemment cette ombre là -haut, je reconnais, un peu pesante. Mais si on analyse la (haute) symbolique du cliché, on peut la tenir comme une menace supplémentaire au-dessus de ce court tranquille.
Et pour ceux que cette ombre effraierait, elle apparaît moins terrifiante dans la version couleurs:
http://www.gerard-bertrand.net/rencontres_couleurs-aigle.html
“Bizarre, vous avez dit bizarre” 600×494 pix (rapport = 1,21)
Vous avez réalisé l’image avec une chambre photographique
soviétique.
Nous avons les moyens de vous faire parler
Exact !
Une photo prise pendant la guerre froide depuis un hélicoptère russe Mi Mi-24 et visant l’emblème de l’impérialisme américain, alors qu’il bombardait d’innocents lieux de loisirs prolétariens.
Alors là je dois dire bravo pour cette image, une vrai réussite et quel coup d’oeil ! un sujet comme cela dans ce décor, c’est totalement improbable et surréaliste mais c’est du pain béni pour un photographe !
c’est sur que ce n’est pas un montage ?