Bernard Lvq sur 19 décembre 2011 à 22h18 … V. Je suis content de te revoir . Je te croyais parti pour toujours. E. Moi aussi V. Que faire pour fêter cette réunion ? Lève-toi que je t’embrasse. E. Tout à l’heure, tout à l’heure. V. Peut-on savoir où monsieur a passé la nuit ? E. Dans un fossé. V. Un fossé ! Où ça ? E. Par là …
GBertrand sur 20 décembre 2011 à 1h34 Superbe ambiance. Ça bouge de partout ! Mais j’aurais resserré “en carré” pour intensifier l’effet: le milieu dans l’axe de la loupiote du plafond et en coupant à droite. Mais c’est déjà très réussi. (Et un supplément au dialogue abscons, non ?)
Bernard Lvq sur 20 décembre 2011 à 11h36 Alors les mecs vous zêtes zaveugles, et le lien que j’avais mis en bout de ce extrait ? “…” mais bon ce n’est pas le plus important, et puis pas la peine de se flageller parce que l’on ne connaît pas ce texte !
Jaly sur 21 décembre 2011 à 12h22 Joli coup de théâtre de cette transversalite et a quand le deuxième acte.
Brigitte David sur 21 décembre 2011 à 18h09 J’avais pas eu le temps de commenter mais j’aime beaucoup cette photo. Pour les mêmes raisons sans doute que celle de Francis. Le cafe, la brasserie où on vient prendre son café du matin, lire le journal, attendre quelqu’un, écrire… Et où à chaque table on a l’impression qu’il y a une histoire à raconter. Ca ne touche pas seulement la nostalgie, mais un choix de vie, une façon de vivre…
Bernard Lvq sur 21 décembre 2011 à 21h25 Merci à vous deux d’entrer en scène … Brigitte, dans un certain nombre de cafés de quartier, aux couleurs défraîchies, aux murs poisseux, aux fluos blafards, au carrelage collant, j’y ressent la dérangeante odeur du désÅ“uvrement, la visqueuse solitude. Ici, dans cette brasserie de gare, je m’y suis attardé pour y coller toutes sortes de scénarios, démantelés et reconstruits au rythme du flots de passagers-acteurs… pas de nostalgie, juste un grand plaisir à composer des scénettes…
Brigitte David sur 21 décembre 2011 à 21h35 Bernard , c’est pour cela qu’il est important de bien choisir son café et de limiter le désoeuvrement…
Bernard Lvq sur 21 décembre 2011 à 23h28 😉 Parfois ce n’est pas mal aussi d’aller se faire gratter l’épiderme par le monde d’à côté. Bon, pour les cafés de quartier, aux couleurs défraîchies, etc, j’en ai rajouté un peu … j’avais envie de jouer au théâtre avec les mots ….
AnnieRita sur 29 décembre 2011 à 19h14 Chacun dans son monde et chacun seul … et l’un qui tourne le dos … le monde d’à côté n’est souvent pas très loin. Godot, ça me semble loin, ça serait une bonne idée d’aller y refaire un tour !
…
V.
Je suis content de te revoir . Je te croyais parti pour toujours.
E.
Moi aussi
V.
Que faire pour fêter cette réunion ? Lève-toi que je t’embrasse.
E.
Tout à l’heure, tout à l’heure.
V.
Peut-on savoir où monsieur a passé la nuit ?
E.
Dans un fossé.
V.
Un fossé ! Où ça ?
E.
Par lÃ
…
Et on ne t’a pas battu pour cela ?
😀
Superbe ambiance. Ça bouge de partout !
Mais j’aurais resserré “en carré” pour intensifier l’effet: le milieu dans l’axe de la loupiote du plafond et en coupant à droite.
Mais c’est déjà très réussi.
(Et un supplément au dialogue abscons, non ?)
Pour le supplément au dialogue, c’est par ici!
Oh l’inculte que je suis !
J’ai simplement un bon moteur de recherche. 😉
Alors les mecs vous zêtes zaveugles, et le lien que j’avais mis en bout de ce extrait ? “…”
mais bon ce n’est pas le plus important,
et puis pas la peine de se flageller parce que l’on ne connaît pas ce texte !
Joli coup de théâtre de cette transversalite et a quand le deuxième acte.
J’avais pas eu le temps de commenter mais j’aime beaucoup cette photo. Pour les mêmes raisons sans doute que celle de Francis. Le cafe, la brasserie où on vient prendre son café du matin, lire le journal, attendre quelqu’un, écrire… Et où à chaque table on a l’impression qu’il y a une histoire à raconter. Ca ne touche pas seulement la nostalgie, mais un choix de vie, une façon de vivre…
Merci à vous deux d’entrer en scène …
Brigitte, dans un certain nombre de cafés de quartier, aux couleurs défraîchies, aux murs poisseux, aux fluos blafards, au carrelage collant, j’y ressent la dérangeante odeur du désÅ“uvrement, la visqueuse solitude.
Ici, dans cette brasserie de gare, je m’y suis attardé pour y coller toutes sortes de scénarios, démantelés et reconstruits au rythme du flots de passagers-acteurs… pas de nostalgie, juste un grand plaisir à composer des scénettes…
Bernard , c’est pour cela qu’il est important de bien choisir son café et de limiter le désoeuvrement…
😉
Parfois ce n’est pas mal aussi d’aller se faire gratter l’épiderme par le monde d’à côté.
Bon, pour les cafés de quartier, aux couleurs défraîchies, etc, j’en ai rajouté un peu … j’avais envie de jouer au théâtre avec les mots ….
Chacun dans son monde et chacun seul … et l’un qui tourne le dos … le monde d’à côté n’est souvent pas très loin. Godot, ça me semble loin, ça serait une bonne idée d’aller y refaire un tour !