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encadrer de nouvelles limites




Bernard Lvq

La photo, un regard au-delà des mots et un partage
6 Commentaires
  1. @Bernard je reviens sur cette photo depuis hier , et sans vraiment pouvoir expliquer pourquoi , je j’aime bien . Mais est ce vraiment important de toujours savoir le pourquoi?? 😉

  2. Laisses-toi aller Henri 😉
    Merci du commentaire.

    Comme indiqué dans le titre et sous-titre, ce qui m’a interpellé (mot de circonstance) ce sont toutes les grilles de l’architecture, rambarde et coupole du Grand Palais qui viennent se superposer aux grilles photographiées dans les photos …. enfermement dans cet espace géant, enfermement dans la limite des ombres, enferment dans la projection au sein de cette geôle en bas…

  3. Moi je crois savoir pourquoi j’y reviens; c’est parce qu’elle me rappelle cette photographie d’hervé : https://www.lavieengris.com/?p=30161
    Celle-ci ne manque pas d’intérêt mais la perspective qui joue de la distorsion sur ces formes géométriques déséquilibre un peu l’ensemble. Peut-être qu’une prise de vue frontale aurait mieux servi la composition?

  4. J’avais beaucoup apprécié la photo d’Hervé, et elle m’avait fait penser à une photo célébrissime de Sabine Weiss
    (http://www.hotels-paris-rive-gauche.com/blog/2008/11/07/nouvelles-expositions-novembre-2008-maison-europeenne-photographie-paris/)

    ….”Sabine Weiss promène depuis 45 ans son appareil photo à la rencontre de l’autre avec une tendre et inlassable curiosité. Membre de l’agence Rapho depuis 1953, on l’associe à cette lignée de photographes dits « humanistes » qui font l’histoire des années 50-60. Elle réalise pour le magazine Vogue de nombreux reportages de mode, des portraits de célébrités et d’artistes.

    En marge de ses travaux commandés, elle a toujours fait des photos pour « elle-même ». Avec le temps, elle se consacre presque exclusivement au reportage noir et blanc qui lui permet d’exprimer, à travers ses voyages, avec « plus de calme et de simplicité » cette rencontre de l’homme et de son univers, cette plénitude de la lumière qui l’obsède….”

    En ce qui concerne ma photo Josée, moi je veux bien, mais le soleil était dans mon dos (la silhouette c’est moi), me décalant dans l’axe je projetais mon ombre sur la photo du bas (perte d’intérêt) et j’avais des reflets sur les autres dans tous les sens… eh, je réfléchis avant de prendre une photo, mais nous sommes assez d’accord 😉

  5. C’est extraordinaire, je pensais exactement à la même photo d’Hervé ,citée par Josée. Mais pour en dire quoi ?
    😉
    Ici, la composition me paraît plus lisible car il en est pour beaucoup de la qualité du tirage de la photographie du bas à droite, qui est pratiquement reproduite in extenso, et qui semble très forte.

    C’est donc ton hommage à Sabine Weiss ?

  6. C’est un clin d’œil appuyé à tous les photographes qui travaillent ou œuvrent dans l’ombre… 😉
    mais je pense aussi à tous ceux qui ont su fouiller la pénombre, que ce soit Saul Leiter, Sabine Weiss ou bien plus loin Kertez, Heinrich Kühn, Alfred Stieglitz, Edward Steichen …

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