Olivier R.

A propos de moi... Je vis au Havre, j'aime la photographie contemporaine sans oublier celle qui fut à l'origine de mon intéret pour l'image. Si ce n'est pas clair pour vous, sachez que ça l'est encore moins pour moi. Mon espace photographie... Andreas Seranno, James Natchwey, Michel Comte, Jeanloup sieff, Hiroshi Osaka, David Lynch et bien sûr Portishead.
11 Commentaires
  1. La belle époque du F5 et de la TMZ qui défilait à 8 images/seconde…

    Compagnie Philippe Trehet / “Trahison” 1998.

  2. Et “cramer” un film en quatre secondes et demie 😉
    La séquence choisie est très belle: naissance, déploiement d’ailes…

  3. Dommage la cellulite des genoux au cuisses amplifiée par le flash ou l’éclairage frontal…

  4. À l’aune de votre dernière publication, je reviens par la galerie sur vos précédentes et je reste persuadé, par exemple, que “Ruptures paysagères” n’aurait pas été desservi par un noir et blanc tel que celui qui apparaît dans Early Works ’98.
    Le mouvement des bras est séduisant sur le triptyque, l’identité de la pose des jambes laissant entendre que vous avez sélectionné une suite. Entre rigueur de l’édition et atmosphère de cabaret, donc !
    😉

  5. Tout comme la pratique régulière de la photographie de spectacle permet au contact des danseuses de reconnaître sans coup férir un muscle tendu, voir même bandé, d’une cellulite, une petite pratique photographique amène instinctivement à distinguer un éclairage de scène d’un vulgaire coup de flash. Tu fréquentes trop les planches de Deauville et pas assez celles des plateaux, Jim.

  6. J’aime beaucoup ce triptyque où même à 8 images/sec, l’acte photographique ne fige pas le temps. Dans cette itération, la position des jambes semble demeurer identique alors que l’énergie se déploie vers le haut du corps à travers rythme et lumière. C’est déjà tout un art d’arriver à bien exposer ce type de scène!
    @ Jean-Marc: J’ai bien failli m’étouffer en lisant votre commentaire à propos de ‘cellulite’!!! Pour moi, chercher de la cellulite dans les jambes de cette danseuse serait équivalent à chercher des poux sur la tête d’un chauve!

  7. @ tinange : Tu devrais fréquenter plus souvent l’Opéra Garnier, la Scala, etc
    C’est étonnant je n’ai te jamais rencontré dans ces lieux ni au Salzburger Festspiele ou au bayreuther-festspiele !

    @ Josée : Vous devriez consultez ! Un ophtalmo !
    La cellulite ou lipodystrophie superficielle est une disgrâce esthétique qui sollicite un amas de graisse constitué d’adipocytes (cellules graisseuses) de grande taille, situées sous la peau. Les adipocytes, gonflés, compriment les vaisseaux sanguins et lymphatiques, ce qui entraîne une mauvaise élimination des toxines et des liquides. Cette accumulation de déchets provoque la formation d’amas graisseux transformant l’aspect de l’épiderme qui devient bosselé d’où son appellation ” peau d’orange “.
    Que se passe t’il sur les genoux ???
    Vous voulez une photo de mes genoux et pourtant, je suis certainement beaucoup plus agé que cette danseuse !

  8. Normal Jean-Marc, on ne fréquente pas le même siècle !

  9. @ Jean-Marc : Merci pour le cours de dermato docteur! Je m’empresse de sortir mon gant de crin! Simplement,je persiste à croire que là n’est pas le propos de Tinange pas plus que le sujet de ce triptyque. À travers mes yeux de taupe, je discerne tout de même une super énergie dans cette séquence. Pas vous?

  10. @ Alain-Michel, en ce qui concerne mes “Ruptures Paysagères” vous avez partiellement raison, elles pourraient tout aussi bien exister dans un Noir & Blanc traditionnel, comme en true colors. Pour le moment, j’expérimente sur ce nouveau projet, et mis à part le choix du format 4/3, rien n’est fixé de manière définitive. C’est le moment le plus excitant du projet, celui de la recherche pure. Et j’explore toutes les voies possibles.
    De même, je me pose la question du procédé de tirage à terme. Pas sûr qu’il soit photographique…

  11. Petite mise au point Jean-Marc,

    Tu es libre de commenter mes images comme bon te semble, tu es libre de les juger mauvaises et dans ce cas, de me faire part de tes arguments, tu es libre de les ignorer si elles n’évoquent rien pour toi. Et même s’il est toujours agréable de lire une critique positive sur une de nos photographies, je préfère à titre personnel, les avis contre aux avis pour. Ils nous permettent, à moi comme à d’autres, d’avancer dans notre travail et de déceler un détail ou une incohérence qui nous aurait échappé. Mais uniquement sur un champ photographique, puisque c’est l’objet de l’endroit où nous nous trouvons.

    Mais tu n’es pas libre de diffamer ou de proférer des attaques personnelles. Si j’ai été contraint de supprimer ton dernier commentaire de samedi soir, c’est que tes propos devenaient insultants pour la personne représentée plus haut. Dois-je te rappeler que nous sommes sur un blog soumis à la Nétiquette et que par conséquent des propos diffamatoires ou insultants engagent la responsabilité de leurs auteurs ?

    Autodidacte je suis en j’en éprouve une certaine fierté. Pour mémoire, à l’âge ou tu étudiais aux beaux-Arts, j’y enseignais… Par ailleurs je n’ai nul besoin de multiplier les copiés-collés de Wikipédia ou d’user de citations éculées jusqu’à l’os pour préciser ma pensée ou tenter de me faire passer pour ce que je ne suis pas. Sans doute un refus du conformisme et de la sclérose intellectuelle que tu devrais craindre autant que moi.

    Aussi, je n’hésiterais pas, si tu persistes dans cette voie à effacer tes commentaires nauséeux. Et si tel était le cas, je te prie de croire que nous serons amenés à en discuter autrement que derrière nos claviers. Avec le risque de moins de civilités de ma part.

    Là dessus, je considère l’incident clos et je t’invite à analyser, critiquer et envoyer mes images au tapis. Sans complaisance et avec toute la rigueur dont tu sais parfois faire preuve.

    Olivier R.

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