modifiée




Bernard Lvq

La photo, un regard au-delà des mots et un partage
25 Commentaires
  1. J’aime beaucoup cette mise en scène des personnages sur fond de ville . L’échelle des personnes, leur côté statique, presque statuaire, que renforce leur reflet. Ils semblent ancrés là, dans cet esplanade sans limite, cette scène véritablement, panoramique; en attente du mouvement qui déplace les lignes… Et j’aime beaucoup ce format.

  2. Et moi j’apprécie toujors les commentaires de B. David, riche sur le fond comme sur la forme.
    Il est vrai que la composition de cette photo est nickel, F

  3. J’suis d’accord,c’est une belle photo – belle composition !

  4. Idem.
    J’aime beaucoup leurs reflets au sol qui s’évaporent en avançant vers le premier plan.

  5. Une impression d’intemporalité pour ces personnages flottants dans le ciel, si cela est dans un aéroport, bravo à l’architecte et au photographe qui a saisi ce moment.
    Mais où est donc ce lieu extraordinaire (à l’est)?

  6. Flore… Merci!

  7. J’aime beaucoup les commentaires qui prennent le temps d’exprimer quelque chose, de positif ou de négatif.

    Brigitte & flore, je vous avis laissé un com ce matin, mais il a saut
    J’aime encore ….”en attente du mouvement qui déplace les lignes”.

    Je vous remercie tous pour vos coms.

    Hervé… c’est une vue de l’intérieur du Centre Pompidou à Metz, vers la cathédrale

  8. Du centre Pompidou à Paris au centre Pompidou à Metz 😉 une belle photo, dedans dehors, ciel et terre, et silhouettes entre les deux.

  9. Excellente composition, juste recul dans l’espace pour donner aux personnages toute leur place, comme en suspension. Le virage bleuté ajoute à cette impression.

  10. rvmarec … merci, mais ce n’était pas la peine de te lever en pleine nuit pour le dire ;))

    merci Annie

  11. Au risque de détonner dans le concert de louanges, et contrairement à un autre panoramique publié précédemment “L’amour sur un grand plateau”, je suis très dubitatif sur plusieurs points. La scène est très froide, accentuée par ce virage bleu. Le cadrage est louable par la convergence des lignes au sol mais ne fait pas oublier des distorsions sur les autres lignes médianes et supérieures. Ce pan de mur à droite est-il si nécessaire ? Surtout, puisque le point d’intérêt est donné par la contemplation, pourquoi ne s’être pas rapproché d’un poil tout en se décalant vers la droite… Les ombres des visiteurs dans le dallage eussent été plus rapprochées, c’est un des points forts de l’image, et leur observation n’en aurait été pas moins paisible…
    Enfin, je sais que la critique est facile !
    😉

  12. @ alain-michel
    Pour une fois que je trouve un titre adapté à ce que je voulais montrer….
    Je ne cherchais pas la perfection technique, les ombres ci, le mur là, et la vue, etc…. bien que çà reste relativement important pour ne pas choquer et attirer l’attention inutilement.

    Je voyais un moment arrêté, découpé en tranches de vie, qui chacune aurait pu avoir un “cadrage” et une vie autonome et comme le disait si bien Brigitte “en attente du mouvement qui déplace les lignes”.

    merci de ta franchise

  13. … et elle fonctionne très bien ainsi Bernard. Peut-être aussi que le mur de droite participe au vivant de la scène. En revanche, as-tu essayé de récupérer les hautes sur les nuages ?

  14. Il n’y a pas de quoi, on vient ici pour ça, non ?
    😉

  15. Tinange & autres …

    Voici ci-dessus en 2e position une correction.
    Je pensais bien que l’on me bouterait sur les nuages brûlés, mais aussi sur le mélange de la femme avec le fond.
    Pour cela j’ai aussi fait une correction sur la luminosité générale et une petite retouche sur la femme.

    Le mur de droite, bien évidemment j’aurais pu le supprimer, mais j’estime qu’il soutient en effet l’ensemble et participe comme tu le dis à la position dans le réel (si l’on peut dire).

  16. Merci pour les ”autres”, personnellement je trouve que c’est tout de même mieux comme ça !
    😀

  17. Le recadrage rend les personnages plus présents et le décor inférieur a plus de profondeur.
    Le centre expose sa ville.

  18. Elle est parfaite Bernard, il y a quelque chose de surréaliste dans cette scène. Ton dernier développement appuie le propos sans forcer. Une grande image.

  19. @bernard. En attente du “mouvement qui déplace les lignes” vous avez tous reconnu que ce n’était pas franchement de moi. Ca ne serait pas de Baudelaire? Ca me rappelle quelqu’un qui aimait tellement Julien Gracq qu’un jour dans un de ses discours il lui a emprunté une belle citation et ce n’est qu’en prononçant son discours que ça lui est revenu… “Merde… bon sang mais c’est bien sûr… “

  20. Je serai brève, la deuxième version est nettement meilleure…

  21. tinange, peut-être ne pas trop forcer non plus sur la pommade 😉

    & Alain-Michel
    L’autre qu’a des carottes dans les cheveux …. et puis y’à les autres ?

    @ Brigitte
    Baudelaire je l’ai croisé rapidement durant mon enfance. Je suis né dans un village très éloigné des cercles littéraires et des parades mondaines. Le pensionnat marqua mon enfance. Arrivé en ville, j’y trouvais à un bout de la rue Emile Zola et à l’autre Jean Valjean.
    …. c’était le quart d’heure délire du mardi

    merci Irène pour cet avis circonstancié 😉

  22. C’est un anti-inflammatoire Bernard !

  23. Bernard un petit clin d’œil trouvé par hasard ici

  24. merci Henri… bien vu 😉

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *