La nature est la principale source d'inspiration de mes photographies. En noir et blanc, j'essaye d'avoir une vision plus graphique, alors qu'en couleur, j'hésite moins à être illustratif.
Je considère ces deux pratiques comme complémentaires, en espérant, peut-être un peu naïvement, que montrer et faire connaître peut inciter à respecter ou protéger.
9 Commentaires
alain-michel boley
sur 13 septembre 2011 à 13h30
Une estampe légère et polysémique.
Le coin inférieur droit nuit un peu à la délicatesse de l’ensemble.
Merci pour vos mots.
alain-michel, maintenant que tu le dis, pour un peu, je ne verrais plus que ce coin inférieur droit !
Irène, oui, tu as bien raison, d’ailleurs, je suis encore loin de le maîtriser ! Mais c’est ce qui rend la démarche intéressante…
Josée
sur 14 septembre 2011 à 1h34
Bonjour David. Bravo pour ce premier essai. Vu comme ça, le sujet me fait penser aux gravures d’Hokusai. Je m’intéresse à ce type de procédé ancien mais je ne m’y suis encore jamais essayée. Je serais curieuse de savoir quel était le format du négatif (du 6X6?) et sur quel type de papier le tirage a été réalisé. Est-il très difficile d’obtenir des noirs profonds?
Bernard LVQ
sur 14 septembre 2011 à 9h54
Je suis toujours très intéressé par ces procédés anciens, gomme bichromatée et autres, j’ai été emballé par l’expo d’Heinrich Kühn.
Ici l’image me paraît divisée en deux au niveau de la tête des “collines” (très très belle cette partie basse droite)… je n’arrive pas à c”raccorder” clairement ce qu’il se passe au-dessus.
Et un tirage plus dense dans cette partie haute grâce à toshsop ?
Josée, le négatif est en effet au format 6×6, je l’ai scanné et imprimé sur un transparent pour pouvoir le tirer par contact.
Le papier (désolé pour la pub !), du Canson Montval (pour l’aquarelle).
Quant à l’obtention des noirs profonds, oui, c’est assez difficile…si l’on veut conserver aussi du blanc, donc du contraste. C’est à cela que servent les expositions multiples, et cela demande de l’apprentissage (j’en suis là !).
Bernard, ahah, tu mets le doigt dessus : j’ai vite compris qu’avec des logiciels de retouche, je pourrai peaufiner ces images bien plus facilement qu’avec les expositions multiples. Mais je vais essayer d’insister sur le procédé lui-même, pour que le rendu final se trouve sur la feuille de papier…en premier 😉
J’explore aussi la couleur, qui m’a (étonnamment) donné plus vite un résultat me satisfaisant (ou presque). C’est ici : http://www.davidtatin.com/blog/?p=621
(et pardon pour le temps mis à vous répondre, j’étais sous d’autres cieux…)
Josée
sur 17 octobre 2011 à 0h34
Merci pour la réponse David. Pourquoi avoir imprimé sur un transparent? Le négatif ne pouvait être utilisé tel quel ou n’était-ce nécessaire que dans le but d’augmenter le format en prévision d’une plus grande taille pour le tirage par contact?
marie
sur 17 octobre 2011 à 8h40
Et, bravo pour ton travail “fragmentation du paysage”
Une estampe légère et polysémique.
Le coin inférieur droit nuit un peu à la délicatesse de l’ensemble.
Je suis admirative, je suppose que ce genre de tirage est très difficile à maîtriser…
Merci pour vos mots.
alain-michel, maintenant que tu le dis, pour un peu, je ne verrais plus que ce coin inférieur droit !
Irène, oui, tu as bien raison, d’ailleurs, je suis encore loin de le maîtriser ! Mais c’est ce qui rend la démarche intéressante…
Bonjour David. Bravo pour ce premier essai. Vu comme ça, le sujet me fait penser aux gravures d’Hokusai. Je m’intéresse à ce type de procédé ancien mais je ne m’y suis encore jamais essayée. Je serais curieuse de savoir quel était le format du négatif (du 6X6?) et sur quel type de papier le tirage a été réalisé. Est-il très difficile d’obtenir des noirs profonds?
Je suis toujours très intéressé par ces procédés anciens, gomme bichromatée et autres, j’ai été emballé par l’expo d’Heinrich Kühn.
Ici l’image me paraît divisée en deux au niveau de la tête des “collines” (très très belle cette partie basse droite)… je n’arrive pas à c”raccorder” clairement ce qu’il se passe au-dessus.
Et un tirage plus dense dans cette partie haute grâce à toshsop ?
PS. Pas du tout gêné par le coin inférieur droit
Josée, le négatif est en effet au format 6×6, je l’ai scanné et imprimé sur un transparent pour pouvoir le tirer par contact.
Le papier (désolé pour la pub !), du Canson Montval (pour l’aquarelle).
Quant à l’obtention des noirs profonds, oui, c’est assez difficile…si l’on veut conserver aussi du blanc, donc du contraste. C’est à cela que servent les expositions multiples, et cela demande de l’apprentissage (j’en suis là !).
Bernard, ahah, tu mets le doigt dessus : j’ai vite compris qu’avec des logiciels de retouche, je pourrai peaufiner ces images bien plus facilement qu’avec les expositions multiples. Mais je vais essayer d’insister sur le procédé lui-même, pour que le rendu final se trouve sur la feuille de papier…en premier 😉
J’explore aussi la couleur, qui m’a (étonnamment) donné plus vite un résultat me satisfaisant (ou presque). C’est ici : http://www.davidtatin.com/blog/?p=621
(et pardon pour le temps mis à vous répondre, j’étais sous d’autres cieux…)
Merci pour la réponse David. Pourquoi avoir imprimé sur un transparent? Le négatif ne pouvait être utilisé tel quel ou n’était-ce nécessaire que dans le but d’augmenter le format en prévision d’une plus grande taille pour le tirage par contact?
Et, bravo pour ton travail “fragmentation du paysage”
Josée, c’est exactement ça, le tirage sur transparent pour pouvoir obtenir un tirage par contact plus grand que le négatif d’origine.
marie, merci !