Image dérobée au paysage intrigant de Vík í Mýrdal ; longue plage islandaise -aux orgues basaltiques remarquables- où l’étonnement domine face a ces teintes noires et blanches ( et aux 5°C en plein moi d’aout…)




11 Commentaires
  1. Mon “moi” d’Août était dans le Jura… Celui de septembre… J”aime beaucoup cette écume cotonneuse qui envahit tout.

  2. Hello,

    J’aime beaucoup cette image, par contre je trouve que l’immense cadre blanc nuit au rendu général d’autant que le haut de l’image est très blanc et du coup noyé dans ce cadre. En revanche, si on l’enlève, alors l’aspect cotonneux de l’eau sera valorisé.

    Que t’chaô.

  3. Bienvenue sur LVEG.
    D’accord avec Armand pour la nuisance du cadre blanc — utile dans certaines autres publications, mais qui enlève ici de la force à une photographie par ailleurs très plaisante.

  4. Comme les deux compères du dessus, belle photo mais il faut vraiment enlever le cadre blanc qui gâche tout.

  5. D’accord avec ce qui précède. Je vais en rajouter : un peu de détail dans le blanc ne ferait pas de mal, et un premier plan net ne nuirait pas. Mais c’est bien vu !

  6. Merci pour ces commentaires constructifs. Je n’hésiterais pas a supprimer ce cadre et à revoir l’orthographe de mes “moi”.

  7. Bienvenue sur LVEG,
    Puisqu’il existe sur cette photo un parti pris sur le blanc, pourquoi ne pas l’accentuer par ce cadre important, la pose longue accentue la blancheur de l’écume et donne l’impression que ce rocher en forme de mammifère marin bat des nageoires. Dommage que le premier plan ne soit pas plus net.
    C’est dans cet endroit que j’ai compris l’expression « transi jusqu’aux os »

  8. Et corriger l’impératif du titre! 😉

  9. Bienvenue sur LVEG. Comme les autres, je dirai que le cadre blanc dessert cette belle photo.

  10. Ne surtout pas toucher à ce cadre blanc qui permet le jeu visuel et graphique avec cette écume qui s’expanse vers le haut.

    Pour peaufiner cette idée j’aurais cadré l’ensemble dans un superbe carré en “ouvrant” vers le haut ce qui aurait donné de l’air et du rêve devant une “chose” (le rocher) que l’on ne saisit pas dès le premier regard.

    Et toujours pour jouer avec ce blanc essentiel, j’aurais gommé les “traces” de vaguelettes que l’on devine encore.

    Dernière remarque mineure, le texte dans le cadre blanc ne sert à rien si ce n’est à faire “graphique” et le cadre gris extérieur est aussi inutile sur ce site.

    Et si vous n’avez pas compris j’aime beaucoup cette photo

  11. Merci des conseils Bernard !

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