Jean-Marc Silvestre

Né l'année où le terme Transistor a été voté par le comité directeur des Bells Labs, généralement le jour des élections présidentielles américaines, marié, plasticien (quelques expos en galeries (Galerie Mecanorma, Paris (il y a bien longtemps !) Galerie le Duplex au Havre (idem! (il y a bien longtemps)), Galerie Turlure au Havre), à la SACEM à Neuilly (ibidem! il y a bien longtemps) au THV du Havre à l'abbaye de Bonport…), graphiste, illustrateur, actuellement surtout retraité, mais toujours actif, dernière expo Planches Contact Deauville, avant la covid.
6 Commentaires
  1. Voilà un sujet délicat : redresser les perspectives ou les fuyantes ?
    Bravo, belle lumière.

  2. C’est quoi cette architecture neo, kitsch, pas belle du tout. Et ce vide intersidéral ? Comme vitrine de la modernité Deauvilloise au moins ça remet les pendules à l’heure.

  3. Si Deauville était moderne, la bourgeoisie fuirait ! Le bocal est vilain, mais la photo est belle : lumière balnéaire et lignes neuronales.

  4. Belle composition, belle lumière, silhouette au loin. Nickel.

  5. Désolé de répondre tardivement, mais j’ai été un peu “overbooké” ces jours derniers.
    @ Sylvain Lenfle : Merci beaucoup.

    @ blagapart et brigitte david : Je ne déteste pas cette architecture, les contraintes étaient importantes, la nécessité de de pas masquer la vue sur mer du “Royal”, rappeler le côté “Art Déco” des cabines des planches, etc.
    Les salles de projections sont spacieuses et confortables, donc…

    @ hervé : “Redresser or not redresser” that is the question ! Ici j’ai choisi de ne pas le faire, mais sur mon blog en couleur, c’est redressé !
    http://jeanmarcsilvestre.tumblr.com/post/10165654515/festival-du-film-americain-deauville-france

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