c’est bien vu et très réussi avec le si peu d’éléments à disposition!
Josée
sur 4 septembre 2011 à 1h36
“Less is more” Voilà ce qui me vient à l’esprit en regardant votre photographie. J’apprécie cette composition épurée et la juxtaposition de ses textures et tonalités. Je la trouve très réussie!
alain-michel boley
sur 4 septembre 2011 à 18h10
Merci à tous pour vos commentaires. Le pays d’Othe (aux environs de Sens) exerce souvent une étrange fascination alors que je reviens d’Italie. La proximité de Paris, qui m’obsède au moment de sa traversée, se trouve curieusement évincée par les aspects désertiques que vous avez généralement évoqués. La lumière n’est pas toujours propice à mettre en valeur la subtile immensité et les douces ondulations de ce paysage. J’ai eu la chance de la trouver au rendez-vous jeudi dernier.
@Josée = Less is more : voilà exactement le type de paradoxe qui me tournait dans la tête. 3600 kms en moto pour trouver un “désert” aux portes de Paris !
@Brigitte David = Toujours pas de corbeaux, c’est bien ma veine…
😉
@Blagapart = Il y avait sûrement quelques femmes, mais elles étaient occupées dans l’usine Bonduelle à quelques centaines de mètres !
🙂
J’insiste pour y voir quand même des corps de femme, mais peut-être suis-je le seul obsédé ?
Pour essayer de le dire autrement, c’est un paysage on ne peut plus féminin, douceur des valeurs, galbe des pentes, velouté des surfaces. Et en route vers le ciel…
Wide open but cloudy sky. Grands espaces et chape de plomb . Le genre d’endroit où on voyage dans sa tête.
Morne plaine si ce n’était un plateau, si quelques dépouilles gisaient par ici, on verrait des hordes de corbeaux, s’affairer sous le ciel bas 😉
Kerouac a pris une route de campagne…
Comme beaucoup de vos photos, c’est une photo de femme (si je vois bien).
J’aime bien ! Un vrai plateau désertique !
superbe paysage…;-)
c’est bien vu et très réussi avec le si peu d’éléments à disposition!
“Less is more” Voilà ce qui me vient à l’esprit en regardant votre photographie. J’apprécie cette composition épurée et la juxtaposition de ses textures et tonalités. Je la trouve très réussie!
Merci à tous pour vos commentaires. Le pays d’Othe (aux environs de Sens) exerce souvent une étrange fascination alors que je reviens d’Italie. La proximité de Paris, qui m’obsède au moment de sa traversée, se trouve curieusement évincée par les aspects désertiques que vous avez généralement évoqués. La lumière n’est pas toujours propice à mettre en valeur la subtile immensité et les douces ondulations de ce paysage. J’ai eu la chance de la trouver au rendez-vous jeudi dernier.
@Josée = Less is more : voilà exactement le type de paradoxe qui me tournait dans la tête. 3600 kms en moto pour trouver un “désert” aux portes de Paris !
@Brigitte David = Toujours pas de corbeaux, c’est bien ma veine…
😉
@Blagapart = Il y avait sûrement quelques femmes, mais elles étaient occupées dans l’usine Bonduelle à quelques centaines de mètres !
🙂
J’insiste pour y voir quand même des corps de femme, mais peut-être suis-je le seul obsédé ?
Pour essayer de le dire autrement, c’est un paysage on ne peut plus féminin, douceur des valeurs, galbe des pentes, velouté des surfaces. Et en route vers le ciel…
PS ; j’aime les petits pois, également !
@Blagapart = Erotisons le pays d’Othe, pas les petits pois !
😉
Pour les corbeaux voir Blagapart…
Merci pour lui Brigitte ! Je viens enfin de retrouver la prise de vue sur film…
🙂
“J’aurai jamais du m’éloigner de mon arbre”