Il ne manque presque rien à cette sorte mise en abîme : si, une fenêtre entrouverte dans le tableau offrant la silhouette d’un homme debout et les trois postures essentielles eussent été conjuguées !
Bravo quand même…
😉
En tout cas une belle construction,
(même si on peut juger que la fenêtre-tableau est placée trop près du bord de l’image)
et qui fonctionne parfaitement par ricochets.
En plus, sobre et plastique.
Le cadre dans le cadre propice à l’évasion onirique ; le deuxième cadre prêt à s’échapper renforce l’illusion. De plus, il existe une troisième fenêtre représentée par la télévision allumée (ou/et un écran d’ordinateur?).
Une très belle composition qui atteint son but.
Très belle photographie! Une image ouverte qui favorise plusieurs niveaux de lecture. L’interprétation va au-delà du simple référent et convoque l’imaginaire du spectateur. L’image est peut-être cadrée (ou recadrée?) un peu serré mais au final la composition demeure très efficace. Une réussite; Bravo!
jaly
sur 14 août 2011 à 8h33
@JMS : Sigmund aurait songé, choubidou bidou, ou?
Avez-vous une carte flou z ah.
Ainsi, je songerai à soigner votre blouzzz, ou?
choubibou bidou ou?
Francis Leplay
sur 14 août 2011 à 12h59
Merci beaucoup pour vos avis chaleureux. Je partage les réserves sur le manque d’air autour du tableau et du divan, mais si j’ouvrais davantage, je tombais sur un pan de mur qui fermait plus encore la possibilité de s’échapper. Pour répondre à JMS, Sigmund dirait sans doute que l’important n’est pas ce qu’il en pense mais ce que vous en pensez. C’est là que commence l’interprétation.
Solong
sur 14 août 2011 à 15h00
J’aime aussi, beaucoup. Avec cette réserve sur le cadrage serré, également sur la bascule du divan.. Très bel écho entre le ”réel” et la représentation, qui place la photographie elle même au cœur de ce jeu de poupée russes, avec plein de choses, importantes ou graves parfois, à s’y raconter…
Hélène vincent
sur 16 août 2011 à 10h35
J adore bravo
Bernard LVQ
sur 19 août 2011 à 10h20
Non, en désaccord avec presque tous 😉 je ne vois pas pourquoi l’on voudrait plus d’air, l’on risquerait d’y perdre cette force de la percussion/fusion du réel et de cette fenêtre sur l’ailleurs bien sûr, l’on risquerait d’être distrait.
Pour moi c’est parfait et j’adore l’ensemble…
Le canapé non aligné… bof, pas important
Francis Leplay
sur 19 août 2011 à 11h54
Merci à Solong, Hélène et Bernard pour les derniers avis postés. Pour rendre à César, c’est un tableau de Peter Martensen. Il peint souvent en gris. Si vous êtes intéressés, je vous mets en lien son site pour visiter sa galerie. http://www.petermartensen.com/
Il ne manque presque rien à cette sorte mise en abîme : si, une fenêtre entrouverte dans le tableau offrant la silhouette d’un homme debout et les trois postures essentielles eussent été conjuguées !
Bravo quand même…
😉
Qu’en penserait Sigmund ?…
A la place de Franz, il penserait peut-être:
“Mais qu’est-ce que je fais là ?”
http://www.gerard-bertrand.net/KAFKA__freud.html
En tout cas une belle construction,
(même si on peut juger que la fenêtre-tableau est placée trop près du bord de l’image)
et qui fonctionne parfaitement par ricochets.
En plus, sobre et plastique.
Le cadre dans le cadre propice à l’évasion onirique ; le deuxième cadre prêt à s’échapper renforce l’illusion. De plus, il existe une troisième fenêtre représentée par la télévision allumée (ou/et un écran d’ordinateur?).
Une très belle composition qui atteint son but.
…celui de nous faire rêver.
J’aime beaucoup, bien construit, ouverture sur les rêves, l’imaginaire.
Comme tout le monde !
Très belle photographie! Une image ouverte qui favorise plusieurs niveaux de lecture. L’interprétation va au-delà du simple référent et convoque l’imaginaire du spectateur. L’image est peut-être cadrée (ou recadrée?) un peu serré mais au final la composition demeure très efficace. Une réussite; Bravo!
@JMS : Sigmund aurait songé, choubidou bidou, ou?
Avez-vous une carte flou z ah.
Ainsi, je songerai à soigner votre blouzzz, ou?
choubibou bidou ou?
Merci beaucoup pour vos avis chaleureux. Je partage les réserves sur le manque d’air autour du tableau et du divan, mais si j’ouvrais davantage, je tombais sur un pan de mur qui fermait plus encore la possibilité de s’échapper. Pour répondre à JMS, Sigmund dirait sans doute que l’important n’est pas ce qu’il en pense mais ce que vous en pensez. C’est là que commence l’interprétation.
J’aime aussi, beaucoup. Avec cette réserve sur le cadrage serré, également sur la bascule du divan.. Très bel écho entre le ”réel” et la représentation, qui place la photographie elle même au cœur de ce jeu de poupée russes, avec plein de choses, importantes ou graves parfois, à s’y raconter…
J adore bravo
Non, en désaccord avec presque tous 😉 je ne vois pas pourquoi l’on voudrait plus d’air, l’on risquerait d’y perdre cette force de la percussion/fusion du réel et de cette fenêtre sur l’ailleurs bien sûr, l’on risquerait d’être distrait.
Pour moi c’est parfait et j’adore l’ensemble…
Le canapé non aligné… bof, pas important
Merci à Solong, Hélène et Bernard pour les derniers avis postés. Pour rendre à César, c’est un tableau de Peter Martensen. Il peint souvent en gris. Si vous êtes intéressés, je vous mets en lien son site pour visiter sa galerie.
http://www.petermartensen.com/
Merci à Francis de citer ses influences. C’est très honnête.
J’avais plutôt pensé à:
http://www.lenouveaurecueil.fr/blog/tag/hopper/
Mais à chacun ses correspondances…
Une image simple et parfaitement construite. J’accroche tout à fait.
C’est avec plaisir que je vois cette photo dans la sélection des meilleures de la semaine de Libération !
😉