tinange sur 8 août 2011 à 17h21 Cadré comme ça, avec de telles valeurs de noir & blanc, j’imagine que vous lisez “Errance” ;- )
tinange sur 8 août 2011 à 17h37 Equilibre et harmonie… La double ligne d’horizon appelle le regard par son contraste, le ciel de cirrus apporte un peu de chaos tandis que la géométrie s’installe au sol. Cette image est en place.
Jean-Marc Silvestre sur 8 août 2011 à 20h42 Beau paysage, mais la composition moitié/moitié me gène assez, il faut faire un choix soit privilégier le sol, en terme de sémiologie l’élément terre ou autrement, le ciel l’élément air. le manque de parti pris graphique nuit à la force de l’image.
lionswood sur 8 août 2011 à 20h59 Pour ma part, c’est bien-sûr personnel, je la laisserais comme cela. IL y a une symétrie dans cette image qui met en relation le graphisme du ciel et des roseaux(?)/étang, comme les 2 parties d’un sablier. La règle des tiers n’est qu’une indication, un repère, que l’on transgresse où pas. Ici, c’est l’équilibre ciel et terre.
hervé sur 8 août 2011 à 21h43 Moitié/moitié pour l’effet miroir, avec des éléments rappelant l’un dans l’autre. Dans l’égalité, il y a une perte de force ou une force plus grande encore?
rvmarec sur 8 août 2011 à 23h52 C’est très bien ainsi, ce 50-50 et sa nette ligne d’horizon conviennent bien. Errance de Depardon me vient naturellement à l’esprit, je souscris à ce genre de références 🙂
Jean-Marc Silvestre sur 9 août 2011 à 12h24 Pour ma part, il y a de quoi faire deux très belles images : La première avec le ciel, la côte, l’eau et très peu de terre. Et la seconde, l’ inverse avec très peu de ciel…
David T. sur 9 août 2011 à 16h14 Superbe. Ces lignes nettes ou brouillées du ciel à la terre, tout invite à l’errance.
Josée sur 9 août 2011 à 20h39 Sincères merci à tous pour vos avis sur cette photo. Une lecture fort inspirante que ce recueil Errance tant du point de vue du texte que de celui des images. J’aime bien cette idée de Depardon à propos d’un espace intermédiaire, un lieu qui ne soit pas spectacle; quelque chose de ni bon ni mauvais mais qui semble provenir d’une nécessité intérieure. Et la qualité des tirages de ce livre est si belle.
monk sur 10 août 2011 à 0h22 Bel équilibre, la séparation à moitie me fait poser la question du cadrage Sur le plan graphique il y a en effet 2 belles images à exploiter, le haut et le bas avec une zone commune
Sylvain.B sur 14 septembre 2011 à 12h23 J’en avait publiée une dans le style il y a quelques temps. mais mon cadrage était moins rigoureux en ce qui concerne la ligne médiane. https://www.lavieengris.com/?p=25048
Josée sur 14 septembre 2011 à 22h07 Merci Sylvain pour le lien vers votre photo. Ayant été publiée avant mon arrivée sur LVEG, je ne l’avait ni vue, ni appréciée. Ces deux photos ne semblent pas avoir été prises sur deux continents différents! J’ai fait une petite série sur ce thème de l’Errance et si je parviens un jour à mettre mon site web en ligne, je pourrai à mon tour vous présenter les autres.
Sylvain.B sur 14 septembre 2011 à 23h28 En effet il y a une similitude géographique entre nos deux images. la mienne a été prise en Camargue en bord de mer prêt des St Maries de la Mer;
Josée sur 14 septembre 2011 à 23h36 Heureux homme! Et la mienne en banlieue de Québec sur la rive du Saint-Laurent.
Cadré comme ça, avec de telles valeurs de noir & blanc, j’imagine que vous lisez “Errance” ;- )
Évidemment…;-)
C’est simplement beau. Equilibre.
Equilibre et harmonie… La double ligne d’horizon appelle le regard par son contraste, le ciel de cirrus apporte un peu de chaos tandis que la géométrie s’installe au sol. Cette image est en place.
Clair net et précis; puis du vent ?
😉
Beau paysage, mais la composition moitié/moitié me gène assez, il faut faire un choix soit privilégier le sol, en terme de sémiologie l’élément terre ou autrement, le ciel l’élément air. le manque de parti pris graphique nuit à la force de l’image.
Pour ma part, c’est bien-sûr personnel, je la laisserais comme cela. IL y a une symétrie dans cette image qui met en relation le graphisme du ciel et des roseaux(?)/étang, comme les 2 parties d’un sablier. La règle des tiers n’est qu’une indication, un repère, que l’on transgresse où pas. Ici, c’est l’équilibre ciel et terre.
Moitié/moitié pour l’effet miroir, avec des éléments rappelant l’un dans l’autre.
Dans l’égalité, il y a une perte de force ou une force plus grande encore?
C’est très bien ainsi, ce 50-50 et sa nette ligne d’horizon conviennent bien. Errance de Depardon me vient naturellement à l’esprit, je souscris à ce genre de références 🙂
Pour ma part, il y a de quoi faire deux très belles images :
La première avec le ciel, la côte, l’eau et très peu de terre.
Et la seconde, l’ inverse avec très peu de ciel…
Superbe. Ces lignes nettes ou brouillées du ciel à la terre, tout invite à l’errance.
Sincères merci à tous pour vos avis sur cette photo. Une lecture fort inspirante que ce recueil Errance tant du point de vue du texte que de celui des images. J’aime bien cette idée de Depardon à propos d’un espace intermédiaire, un lieu qui ne soit pas spectacle; quelque chose de ni bon ni mauvais mais qui semble provenir d’une nécessité intérieure. Et la qualité des tirages de ce livre est si belle.
Bel équilibre, la séparation à moitie me fait poser la question du cadrage
Sur le plan graphique il y a en effet 2 belles images à exploiter, le haut et le bas avec une zone commune
hommage et référence à un grand j’aime
J’en avait publiée une dans le style il y a quelques temps.
mais mon cadrage était moins rigoureux en ce qui concerne la ligne médiane.
https://www.lavieengris.com/?p=25048
Merci Sylvain pour le lien vers votre photo. Ayant été publiée avant mon arrivée sur LVEG, je ne l’avait ni vue, ni appréciée. Ces deux photos ne semblent pas avoir été prises sur deux continents différents! J’ai fait une petite série sur ce thème de l’Errance et si je parviens un jour à mettre mon site web en ligne, je pourrai à mon tour vous présenter les autres.
En effet il y a une similitude géographique entre nos deux images.
la mienne a été prise en Camargue en bord de mer prêt des St Maries de la Mer;
Heureux homme! Et la mienne en banlieue de Québec sur la rive du Saint-Laurent.