Francis Leplay sur 20 juin 2011 à 18h15 Une vraie matière avec ce bouleau qui sert de repère réaliste et autour, des encres aussi énigmatiques que des formes de Rorschach propices à toutes les extrapolations.
alain-michel boley sur 20 juin 2011 à 19h53 Une nature très… envahissante. La prodigalité graphique démontre l’entretien soigneux de cette abondance.
Irène de Groot sur 20 juin 2011 à 20h41 L’intention est bonne, mais, il y a confusion, rien qui accroche le regard dans ce reflet du jardin… Bon, je dis à peu près la même chose que Alain-Michel, juste avec moins de tact! 😉
alain-michel boley sur 21 juin 2011 à 9h07 Par nature envahissante, j’entendais dire : la photo est comme envahie de cette nature. À l’ouverture de la page, j’ai même eu l’impression qu’elle n’était pas au bon format. C’est donc une forte impression. Qui perdure au deuxième passage ! Le background de cette image doit être très puissant. Probablement dû à l’esquisse d’ombres de visage[s] flottant, épars. Bref, j’aime beaucoup cette photographie.
Irène de Groot sur 21 juin 2011 à 9h58 @ Alain-Michel, Autant pour moi! Il suffit de ne pas confondre prose et commentaire, ce qui devient une habitude sur LVEG… 😉
blagapart sur 21 juin 2011 à 11h36 Tout le monde semble voir la même chose : une assez grande confusion dans les formes et les valeurs. Comme l’humanité est diverse, ça procure toutes les sensations du plaisir à l’ennui.
tinange sur 21 juin 2011 à 12h16 Aucune confusion pour moi. J’y vois une image en profondeur, une juxtaposition de valeurs et de formes qui permet une lecture multiple. A noter que le N&B est absolument impeccable. Viré avec délicatesse. Il n’y aurait, pour parfaire, que les hautes à combler un peu sur le haut du tronc.
tinange sur 21 juin 2011 à 12h18 J’allais compléter en demandant s’il y en avait d’autres… Et j’ai lu le titre !
flore sur 21 juin 2011 à 15h26 La juxtaposition de formes et de lumières est vraiment très réussi. Beaucoup de vie dans cette image qui mériterait un grand format, F
Josée sur 21 juin 2011 à 18h08 Merci à tous pour vos commentaires. J’étais curieuse de l’accueil qui serait réservé à cette photo et je suis bien heureuse de constater qu’elle soulève la question du réalisme. N’en déplaise à Baudelaire, l’intérêt premier de la photographie vient précisément du fait qu’elle présente moins le réel qu’elle ne l’intérroge. Je m’intéresse donc particulièrement à la notion d’expérience qui vise davantage à puiser à même la réalité plutôt que de s’appliquer à la reproduire. Bien entendu, ce n’est qu’un point de vue qui démontre simplement que cette notion de réalisme au coeur de la photographie demeure toujours d’actualité. @ Tinange: Cette image est issue d’une série de neuf photographies (au format A3) lesquelles étaient regroupées et présentées en grille afin d’accentuer leur effet de planéité et de questionner plus à fond la dite question du réalisme. J’avais pensé en présenter trois sur LVEG quoique l’effet soit différent lorsque vues séparément…
Une vraie matière avec ce bouleau qui sert de repère réaliste et autour, des encres aussi énigmatiques que des formes de Rorschach propices à toutes les extrapolations.
Une nature très… envahissante. La prodigalité graphique démontre l’entretien soigneux de cette abondance.
L’intention est bonne, mais, il y a confusion, rien qui accroche le regard dans ce reflet du jardin…
Bon, je dis à peu près la même chose que Alain-Michel, juste avec moins de tact! 😉
Ce n’est pas du bouleau, mais j’aime bien…
Par nature envahissante, j’entendais dire : la photo est comme envahie de cette nature.
À l’ouverture de la page, j’ai même eu l’impression qu’elle n’était pas au bon format. C’est donc une forte impression.
Qui perdure au deuxième passage ! Le background de cette image doit être très puissant. Probablement dû à l’esquisse d’ombres de visage[s] flottant, épars.
Bref, j’aime beaucoup cette photographie.
@ Alain-Michel,
Autant pour moi!
Il suffit de ne pas confondre prose et commentaire, ce qui devient une habitude sur LVEG… 😉
Tout le monde semble voir la même chose : une assez grande confusion dans les formes et les valeurs. Comme l’humanité est diverse, ça procure toutes les sensations du plaisir à l’ennui.
Aucune confusion pour moi. J’y vois une image en profondeur, une juxtaposition de valeurs et de formes qui permet une lecture multiple. A noter que le N&B est absolument impeccable. Viré avec délicatesse. Il n’y aurait, pour parfaire, que les hautes à combler un peu sur le haut du tronc.
J’allais compléter en demandant s’il y en avait d’autres… Et j’ai lu le titre !
La juxtaposition de formes et de lumières est vraiment très réussi. Beaucoup de vie dans cette image qui mériterait un grand format, F
Merci à tous pour vos commentaires. J’étais curieuse de l’accueil qui serait réservé à cette photo et je suis bien heureuse de constater qu’elle soulève la question du réalisme.
N’en déplaise à Baudelaire, l’intérêt premier de la photographie vient précisément du fait qu’elle présente moins le réel qu’elle ne l’intérroge. Je m’intéresse donc particulièrement à la notion d’expérience qui vise davantage à puiser à même la réalité plutôt que de s’appliquer à la reproduire. Bien entendu, ce n’est qu’un point de vue qui démontre simplement que cette notion de réalisme au coeur de la photographie demeure toujours d’actualité.
@ Tinange: Cette image est issue d’une série de neuf photographies (au format A3) lesquelles étaient regroupées et présentées en grille afin d’accentuer leur effet de planéité et de questionner plus à fond la dite question du réalisme. J’avais pensé en présenter trois sur LVEG quoique l’effet soit différent lorsque vues séparément…