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Carrément rien. Pour essayer de voir "autre chose".De les montrer aussi
4 Commentaires
  1. Je m’interroge sur votre démarche. J’essaye de la comprendre. Je me dis qu’il y a en littérature une école des “moins que rien” qui prennent pour sujet d’étude des objets minuscules du quotidien, insignifiants, pour, à partir de ce rien, en extraire de la valeur ajoutée et créer de l’art, presque ex nihilo. Alors pourquoi pas aussi en photographie? Le problème, c’est que dans cette école littéraire, on range Delerm en tête de pont, et que je n’aime pas beaucoup Delerm, qu’il ne me révèle pas grand chose, que les plaisirs minuscules restent… minuscules. C’est un peu ce que je ressens devant vos photographies. Je n’ai pas de révélation. Là où je suis d’accord avec vous, c’est qu’il n’y a pas plus de valeur à photographier un paysage majestueux plutôt qu’un tempura qui frit dans son huile. La valeur en photographie n’est jamais (ou pas seulement) intrinsèque à la valeur de l’objet, de l’homme, ou du paysage photographié, sinon c’est une paresse, une reproduction. Mais pour ma part, je dois avouer rester à la porte de vos photos, tout en ayant essayé d’y entrer. Donc, test négatif.

  2. Un nouveau mystère sur LVEG, donc…
    Quatre photos en si peu de temps, quelle hâte !
    Prises une par une, je n’en saurais trop rien dire si ce n’est ce vieux proverbe qui parle des mouches et du vinaigre…
    Vues toutes les quatre ensemble en vignette [par la fonction nom du photographe], ça peut le faire.
    Mais alors, le format n’avantage pas la lecture du polyptyque.
    Ni mon écran de treize pouces…
    ;o)

  3. Je suis heureuse, Francis, que vous ayez pu dire, en toute simplicité, que vous n’aimez pas ce que je propose, et que vous êtes moins sensible au quotidien qu’à autre chose
    Bien à vous
    zd

  4. Peut-on encore parler de quotidien quand l’attention se fixe sur des objets aussi ordinaires, aussi peu investis de représentations symboliques. Peut-on parler encore de nature-morte quand on pense que ces choses là n’ont jamais été vivantes. Et que dire de cette application à exsuder le moins que rien?
    Bon courage…

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