Tout ce petit monde attendait de pouvoir affronter la tour Eiffel.
Impression de gigantisme et d’infiniment petit.
On est peu d’chose !
L'OliV
Petit amateur de photo j'ai profité de la révolution numérique pour me lancer un peu plus "sérieusement". Les regards extérieurs sont toujours enrichissant, merci tout de même de votre indulgence, c'est de la photo, pas une affaire d'Etat !
Le photoshop-geek que je suis aurait rajouté un peu de vignettage artificiel pour faire écho à la structure Eiffel et fermer les 3 autres coins…
Pour le reste, c’est une photo réussie qui exprime exactement ce que tu as écrit. On est peu de chose…
Ben à vrai dire, j’essaie au maximum de ne pas trop retoucher mes photo. Mais en partant de ton postulat c’est vrai que c’est peut-être une idée à exploiter.
En tous cas merci du commentaire.
c’est très beau, on dirait un coeur en formation !
Des cœurs pour le cœur…
C’est magnifique, cette image nous transporte, nous fait voyager.
Pour ce qui est de retoucher ou pas, je pars du principe que l’image saisie par un capteur de réflex numérique reste à développer.
Par contre, devoir recadrer est pour moi un peu un aveu d’échec, parfois nécessaire…
Là le cadrage est bon, c’est bien vu, on parle juste de peaufiner.
photo sympa: mais je trouve l’effet de lissage (ou suppression totale du bruit) trop prononcé à mon gout…ça fait des petits halos autour des personnages 😉
@marie : Promis, juré, à part le passage au NB, la photo n’a subi aucune retouche… mais elle a été prise avec un compact d’à peine 3 Méga, ça explique peut-être le “lissage”.
@remi : Finalement j’aime bien ton idée “une photo numérique reste à développer”. Merci pour le concept.
Aux autres, merci de ces commentaires, pour un début, je suis comblé.
Cette photo me coupe en deux ! D’un côté les fourmis sur un fond gris très bien rendu, de l’autre quelque chose dans la composition et le cadrage de la photo qui m’empêche d’adhérer vraiment.
D’autre part, je partage complètement la 1ère partie des propos de Rémi.
Moi j’aime bien cette photo, c’est une sorte de contre-pied : quand on pense aux milliards de gens qui prennent la Tour Eiffel en photo, le regard est ici décalé, comme j’aime.