Louise Markise
se déguise,
et de fils en aiguilles,
tisse une toile mêlée
d’autoportraits
et de poésie volée.
Elle funambule entre
le mot et l’image,
entre la fantaisie et la nudité,
les couleurs et les silences.
Jeune adulte
ou grande enfant,
elle vit
depuis cinq ans à Berlin.
6 Commentaires
L'OliV
sur 10 janvier 2011 à 13h19
Pour celle-ci je préfère la version couleur sur ton blog, plus lisible à mon avis.
A l’opposé de la version couleur le sujet ressort mieux sur la version N&B, mais c’est au détriment du fond, pour moi je le verrais à peine plus clair!
Pour celle-ci je préfère la version couleur sur ton blog, plus lisible à mon avis.
J’aurai préfère le vide devant,on a l’ impression que tu va t’écrasais contre quelque chose.
Icare au féminin
Bel effet de style, mais ça dit quoi?
Ca peut parler de l’envol
A l’opposé de la version couleur le sujet ressort mieux sur la version N&B, mais c’est au détriment du fond, pour moi je le verrais à peine plus clair!