9 Commentaires
  1. Bonjour à tous 🙂 !
    De la vie et de belles photos en ce moment sur La vie en gris!
    Pour ma part, celle ci pour vous annoncer la naissance d’un blog (balbutiant) que je consacre à la scène et aux croque-notes…
    http://solongphotographies.blogspot.com/
    Vos critiques et conseils y seront les bienvenus…
    Amitiés 😉

  2. Le fameux rideau et sa trame sont de retour mais cette fois la silhouette du batteur est nette et accroche bien le regard.Vraiment chouette.
    Je pars visiter!

  3. Putain Solong où étais-tu passé ? Une absence d’une éternité !

    Très très belle la double ombre et le fil de lumière sur la tête… ambiance filmique aussi pour moi… la toile, le grain, la trame, les accrocs !!

    Quelles critiques veux-tu ? J’aime tous les défauts de cette image qui n’en contient aucun en ce qui me concerne !

  4. vraiment très belle ambiance.
    merveilleux travail!

  5. absolument étonnant, et l’ensemble de la série est à l’avenant.

  6. ‘aime bien et en particulier l’utilisation de l’éclairage à contre jour sur les 2 musiciens

  7. Je suis admirative devant cette photo si claire et si sombre à la fois. Vah ! Vah ! comme on dit en Inde quand on apprécie le travail d’un artiste, bravo.

  8. Merci à tous 🙂 !
    @Loïs: hé oui, le coup du rideau microperforé capable de retenir la lumière en dessinant des ombres qui se laissent traverser.. Je n’allais pas m’en priver! touché que tu t’en sois souvenu, de cette attention là… Le rideau était immense et animé par une légère brise: les ombres grossissaient ou s’amenuisaient lorsque le rideau s’écartait ou s’approchait de la scène. ça plus la musique et les caprices des fumigènes… je garde un superbe souvenir de ce moment photographique privilégié, seul derrière la scène…
    @Bernard: Ben oui désolé ;)… faute de temps pour bien peser- poser les mots. Je n’ai pourtant guère quitté LVEG des yeux (et du coeur); La fréquentation silencieuse reste très enrichissante… manque la saveur du partage.
    Merci pour ton com, je goutte particulièrement ton compliment sur les défauts. Je comprend de plus en plus qu’apprendre à en jouer, à se laisser surprendre, et à s’accommoder de ses maladresses est une bonne piste… la quête de la maîtrise en tout sans doute une fausse bonne route…
    @ tous merci encore 🙂 !

  9. …et je n’ai même pas dit qu’il s’agit de Franck Marco, batteur émérite et généreux, et du charismatique Daniel Yvinec, bassiste et patron de l’orchestre national de jazz, sur la grande scène du festival “Rochefort en accords” en Août dernier…

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