Les voyages, l'Asie surtout, m'inspirent et depuis peu Paris.
8 Commentaires
monk
sur 25 mai 2010 à 23h26
Je suis toujours captivé par ces photos où un regard prégnant m’accroche et ne me lâche plus.
Rien à dire sur le cadrage et la lumière qui sont au top pour moi.
J’aime beaucoup cette fenêtre ouverte sur l’extérieur et ce regard vers l’intérieur.
PS. Décidément je suis encore gêné par ce traitement qui me paraît un poil gris/blanc cassé / j’espère que ce ne sont pas mes yeux qui me trahissent 😉
Solong
sur 26 mai 2010 à 13h02
J’aime beaucoup. Ce, ces regards, bien sur. L’attitude des personnages aussi, cette pogne agrippée. J’aime ainsi percevoir cette duplicité dans l’interaction soudaine et frontale avec le photographe : d’une part l’innocence de l’enfant, une curiosité qui lui ferait facilement franchir les barreaux, et d’autre part, a cet instant, une certaine méfiance de la mère au contraire, sans doute moins pour elle, que dans une relation protectrice avec l’enfant… Le regard d’une louve qui jauge la situation et le danger potentiel pour son petit…
j’aimerai connaître la suite. Je crois percevoir que ces barreaux ne sont pas loin de tomber ; Un sourire, un mot, un geste ?…
Je me suis interrogé sur le cadrage. Le choix de cadrer le cadre (la fenêtre, ses huisseries le mur…) se défend. C’est simple et efficace pour planter la confrontation. J’aime bien aussi l’option de s’approcher plus : j’ai essayé un carré au ras du cadre, ne conservant que les personnages, la main, le fond noir et les barreaux… je trouve ça pas mal non plus ? qu’en pense tu… ?
(et peut être un peu moins de « clareté (= netteté-définition) » sur le mur et les huisserie ? ) juste pour chipoter… 🙂
je trouve que jouer avec des procédés n’améliore pas cette belle photo, au contraire 😉
bernard levq
sur 27 mai 2010 à 20h50
Sister en fait je ne pense pas que ce soit les blancs cassées qui me chagrinent mais plutôt le traitement des noirs dans les visages, comme s’ils étaient enterrés, charbonneux.
J’insiste parce que ton image me plaît 😉
Pas d’accord avec flo (pour une fois) : ce traitement “au trait” va très bien avec cette image riche en texture, et met en valeur les visages par un effet de contraste (rondeur, dégradé des gris).
Je suis toujours captivé par ces photos où un regard prégnant m’accroche et ne me lâche plus.
Rien à dire sur le cadrage et la lumière qui sont au top pour moi.
quel regard! vraiment superbe
J’aime beaucoup cette fenêtre ouverte sur l’extérieur et ce regard vers l’intérieur.
PS. Décidément je suis encore gêné par ce traitement qui me paraît un poil gris/blanc cassé / j’espère que ce ne sont pas mes yeux qui me trahissent 😉
J’aime beaucoup. Ce, ces regards, bien sur. L’attitude des personnages aussi, cette pogne agrippée. J’aime ainsi percevoir cette duplicité dans l’interaction soudaine et frontale avec le photographe : d’une part l’innocence de l’enfant, une curiosité qui lui ferait facilement franchir les barreaux, et d’autre part, a cet instant, une certaine méfiance de la mère au contraire, sans doute moins pour elle, que dans une relation protectrice avec l’enfant… Le regard d’une louve qui jauge la situation et le danger potentiel pour son petit…
j’aimerai connaître la suite. Je crois percevoir que ces barreaux ne sont pas loin de tomber ; Un sourire, un mot, un geste ?…
Je me suis interrogé sur le cadrage. Le choix de cadrer le cadre (la fenêtre, ses huisseries le mur…) se défend. C’est simple et efficace pour planter la confrontation. J’aime bien aussi l’option de s’approcher plus : j’ai essayé un carré au ras du cadre, ne conservant que les personnages, la main, le fond noir et les barreaux… je trouve ça pas mal non plus ? qu’en pense tu… ?
(et peut être un peu moins de « clareté (= netteté-définition) » sur le mur et les huisserie ? ) juste pour chipoter… 🙂
J’aime beaucoup les regards, mais aussi le traitement du bois et de la pierre.
je trouve que jouer avec des procédés n’améliore pas cette belle photo, au contraire 😉
Sister en fait je ne pense pas que ce soit les blancs cassées qui me chagrinent mais plutôt le traitement des noirs dans les visages, comme s’ils étaient enterrés, charbonneux.
J’insiste parce que ton image me plaît 😉
Pas d’accord avec flo (pour une fois) : ce traitement “au trait” va très bien avec cette image riche en texture, et met en valeur les visages par un effet de contraste (rondeur, dégradé des gris).