Il n’a peur de rien…




Bernard Lvq

La photo, un regard au-delà des mots et un partage
10 Commentaires
  1. et un petit clin d’Å“il tombé sur le clavier par pur hasard suite à “il n’a peur de rien”…

    Forme littéraire : roman d’aventure dans lequel les références «préhistoriques» malmènent fortement la chronologie établie par les chercheurs.
    Ton littéraire : humoristique, proche de celui d’une bande dessinée.

    Sujet traité : Petit-Féroce, habite une grotte confortable près du lac de la Lune. Maman, prépare de délicieuses soupes au mammouth. Papa, Grand-Féroce, chasse le tigre avec sa massue. Et je n’ai peur de rien. Ou presque…

    Dans ce récit, tout concourt à une identification des enfants aux jeunes héros qu’ils rencontrent.
    Le tissu familial, le tissu social, ancrés dans « une préhistoire » imaginée par l’auteur……….
    😉

  2. Il ne s’est pas encore retourné … j’adore !

  3. “Même pas peur”, c’est normal il a un Mac 😉

  4. ah, enfin un connaisseur 😉
    Que veux-tu qu’un monstre puisse faire contre cela ?

  5. elle a quelque chose de très moderne 😉
    beau choix de traitement aussi
    la pancarte est si bien vue aussi !

  6. Annie, Flo, merci pour votre regard

  7. Très bien vu! et très beau développement en effet.
    J’ai d’emblée été frappé par les similitudes (épaules, tête, yeux, direction de la lumière (ça c’est fort!)…) entre le jeune homme et l’image sur le mur.
    Je m’y raconte du coup une bien autre histoire que celle d’un jeune innocent menacé par le monstre: Avec l’impression que l’image sur le mur en est une représentation (du jeune homme), un double informatique, une sorte d’ “avatar”, comme si elle était une sorte de scan projeté par l’écran sur ce mur à travers le jeune homme, le long de cette diagonale, qu’elle nous en révélait cette monstruosité… une histoire bien plus effrayante… ou la réalité n’est plus où l’on croyait…

  8. solong, entièrement d’accord avec toi, en effet une histoire effrayante, un monde qui s’installe sans retenue et avec aveuglement dans le virtuel, où l’on s’invente des personnages qui représentent ce que l’on voudrait bien être…

  9. Très belle photo, très bien construite.
    Par contre je réagis au dernier message de Bernard, car je ne comprends pas cette “histoire effrayante”, et pour répondre à la toute fin du message, depuis la nuit des temps l’homme s’invente des personnages qui représentent ce qu’il voudrait ou ne voudrait pas être. C’est même le moteur principal de l’imaginaire.

  10. @ Cormac merci de ton passage.

    “Effrayante”, car aujourd’hui de plus en plus de personnes transposent ce monde virtuel ( ce qui n’est absolument pas la même chose qu’imaginaire*) dans le réel et voient leurs relations à travers ces avatars qui n’ont pas de limites… en général dans la destruction / violence.

    …et pour faire court et avec humour (!) si tu as vu un avatar d’une sÅ“ur Thérésa je te laisse mon n° de tél 😉

    Quand j’étais gamin je ne rêvais pas d’avoir de mitrailleuse lourde dans chaque main, des missiles greffés sur les avant-bras, une fusée dans le dos et de tuer le maximum des personnes qui passaient à mes côtés… ni de m’appeler Robocop… je n’avais pas besoin d’envoyer des sms toutes les dix minutes à tous mes copains… l’on cherchait à se voir dès que l’on pouvait pour s’amuser ensemble… ou je prenais un bon bouquin, une bonne BD.

    A l’âge adulte rêver de ce que l’on voudrait être ou ne pas être et bien faudrait passer à l’action… et se réaliser enfin, non ? 😉

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