La Défense, avril 2010 (version redressée).
Tristan D.
Photographe amateur, amateur de photographie. Surtout attiré par la prise de vue, le regard. Attrait particulier pour le N&B.
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C’est limite “Independence Day” sous cet angle original. Peut-être redresser les perspectives…
PS : Encore une interprétation du mot “fourmilière”…ça va débattre ! 😉
Orson Welles avait dit à mes parents que les martiens avaient débarqué mais je ne les avais pas crus. Aujourd’hui la vérité est criante.
Je suis allé récemment à La défense et je suis passé complètement à côté.
Encore une fois le noir & blanc y fait énormément pour rendre la chose captivante.
Le renvoi visuel vers ces immeubles aux formes répétitivement rondes, associé avec le grignotage de ces fenêtres noires contrastant avec les stores beiges est extrêmement bien vu.
Entièrement d’accord avec jg, il me semble que redresser les perspectives apporteraient un plus.
Oui, Bernard, leur soucoupe est encore là ! Bel angle de prise de vue. Et je ne parlerai pas des fourmis ! il y en a tout de même quelques unes sur le parvis !
Je veux pas ramener ma fraise à tout prix, mais j’ai photographié en son temps cette même entrée d’immeuble, dans un tout autre genre de photo :
https://www.lavieengris.com/?p=8238
La vôtre est plus brillante..
Pour moi les deux sont très intéressantes,leur contraste différent me semble bien adapté à leur angle de pdv respectif.
Pour le redressement des perspectives, j’y pense. Mais il faut que je passe par un 2ème logiciel, alors j’ai différé… 🙂
@christian B : je ne me hasarderai pas à une comparaison qualitative. A partir d’un élément en commun, nos 2 photos n’expriment tout simplement pas la même chose 🙂
Voici donc la version redressée…
Ah ouais, ça y a gagné beaucoup à la redresser !!!
Bravo !
Le titre de fourmillière n’est peut être pas le plus adéquat, pas tellement le côté péjoratif, mais l’image ne donne pas tellement l’impression que ça grouille. Les volumes sont bien répartis, entre cette soucoupe et les bâtiments
Je l’aime bien comme ça mais je l’aimais avant, sans souvenir suffisamment précis pour un comparatif. Je me demande tout de même si le redressement (ô le vilain mot) ne nous prive pas d’un coté narratif qui collerait bien au titre justement, avec ces immeubles courbés sur ces “ouvrières” qui en ont peut être oublié de se demander qui est cette reine pour laquelle ils bossent…
je suis frappé par l’uniforme de tous ces gens: le sombre est à la mode en avril à la capitale… tiens demain j’enfile ma chemise à fleur, pour un p’tit coup de pied dans la fourmilière… 😉