13 Commentaires
  1. J’aime l’ambiance du reflet, mais l’arbre est trop centré et les branches surexposées me gênent…
    Ceci dit, je comprends ta fascination! 😉

  2. L’ambiance est là, pas de doute, mais je me demande presque si les branches très claires au premier plan ne sont pas de trop, ou trop présentes. Certes elles donnent un cadre, une profondeur, mais…

  3. Une ambiance particulière et du travail pour chercher le meilleur cadrage.

  4. Solong j’aurais bien aimé me laisser embarquer ou hypnotiser par ce sous-bois sombre car l’idée et l’ambiance me plaisent beaucoup et c’est bien vu, mais il y a certains paramètres qui viennent gêner mon plaisir.

    Déjà ces branchages surexposés et ce morceau de talus en haut dont j’ai l’impression qu’il va me tomber sur le coin du crâne, me gâchent l’effet onirique du reflet noir.
    Deuxièmement la qualité de cette surface noire elle-même dans une eau tellement sale en surface que l’effet me donne de prime abord l’impression d’être face à un paquet de pixels mal gérés.

    Voila résumé toute la difficulté de présenter un moment personnel d’émotion à des observateurs extérieurs, toutes bonnes volontés confondues 😉

  5. Je crois que j’aurais préféré que l’arrière-plan.

  6. Un carré me semblerait intéressant pour créer un “cercle” par ces branches et tronc…évitant de centrer ce dernier (et cette partie droite qui déséquilibre à mon goût). 😉

  7. Bien d’accord avec vous tous… merci pour ces commentaires 🙂
    Plus que jamais (c’est à dire aussi un peu comme toujours..) j’ai publié celle ci avec l’impression qu’il y avait quelque chose et pas satisfait du tout de tout ce qui m’y gêne et qui vous gêne aussi…. J’ai eu une forte impression en poussant les noirs sur cette image pas très bien fichue: Une sorte de réminiscence de frayeur d’enfant, de celle qu’on aime se faire quand le réconfort n’est pas trop loin… (d’où le titre). J’y voyais aussi un bois comme les dessine Joann Sfar…
    L’image est finalement assez peu “trafiquée” : noirs poussés à fond, majoration du contraste, un peu moins de luminosité, c’est tout. Je me suis étonné de l’aspect que donnait ces “lentilles d’eau” sur ce reflet retourné. L’aspect surexposé des brindilles est aussi lié au fait qu’elles étaient couvertes de givre.
    mais reflet de l’arbre trop centré en effet…etc. Tentatives vaines de recadrage. La suppression des brindilles lui enlèvent en effet de la profondeur et je ne sais quoi de doigts crochus… J’ai finalement décidé de vous la soumettre en l’état, brute de recadrage, et, pour y avoir moi même réagit, curieux de vos avis…
    merci pour ceux là… 😉

  8. Et moi j’aime cette photo. Elle me fascine.En art, la technique n’est pas toujours primordiale, mais bien la sensibilité.
    Naturellement, cet argument n’est pas une excuse pour ne pas travailler sa technique et faire du “n’importe quoi”, comme trop souvent dans l’art moderne !
    J. MERLIN

  9. Merlin! Vous évoquerait-elle plutôt les enchantements de Brocéliande? 😉
    merci en tout cas… et peut être faut il la laisser un peu bancale en effet?

  10. Même si je préfère aussi l’arrière plan aux branches un peu claires du premier plan, j’aime l’impression qui se dégage de cette photo, baignée de fantastique, entre contes de Perrault et Idées Noires de Franquin…

  11. solong, as-tu essayé de l’assombrir un peu plus ( densité) et lui ajouter un peu de gris ? ce qui atténuerait cette impression dont parle Bernard ( “pixels mal digérés” ), et la rendrait encore un peu plus mystérieuse

  12. j’ai essayé flo sur tes conseils et c’est vrai que ça lui va mieux… (je laisse ici la version brute)
    merci à tous!

  13. ça m’évoque la forêt maléfique de Blanche Neige au moment de la fuite éperdue pour échapper au méchant. J’aime qu’il y ait des branches au premier plan et blanches, qui donnent le relief et la profondeur. Quelque chose d’envouté, de primal, avec juste ce qu’il faut de réalité ambigüe pour rester inquiétant comme une frayeur d’enfant même quand on a grandi. Du Tim Burton aussi, peut-être – moins manichéen, moins enfantin. Et des relents de roman gothique. Belle atmosphère.
    Ne suis gêné que par les petites branches blanches en bas vers la droite et en haut par ce que B Levq appelle le talus, à droite des branches longues. Serait peut-être mieux sans. Mais c’est un détail.

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *