windeck sur 16 avril 2010 à 10h15 Très joli portrait, les yeux baissés ajoutent à la dramaturgie des rides du visage.
solong sur 16 avril 2010 à 12h29 Un regard posé comme une plume… j’aime là encore la douceur du traitement, là où l’on aurait pu être à tord tenté d’en rajouter sur ces rides. Celà renvoi aussi au geste du photographe, s’appliquant à ne pas la réveiller… j’imagine l’approche précautionneuse, , l’apnée à la mise au point, le tressaillement coupable au bruit du déclenchement…, et le perpétuel tic tac de l’horloge du salon… Il en manque peut être en bas?
flo g sur 18 avril 2010 à 14h06 un sommeil bien doux, même si je crois préférer l’imaginer dans un environnement, dans son environnement..
jaly sur 18 avril 2010 Ã 20h08 Toujours touchant la vieillesse qui surprend et le froid vide de chaleur humaine et comme solong.
bernard levq sur 23 avril 2010 à 11h04 Solong aurait-il vécu à la campagne ? En tous je vois qu’il connaît bien les sons qui accompagnent les vieux (d’une certaine génération tout de même) dans leur solitude et leur attente du lendemain, puis encore du lendemain, identique. Véronese j’aime beaucoup ton regard. Dans cette photo, dans ce rapprochement je sens plus la marque d’affection que le recul photographique nécessaire, au-delà de “l’image” que je voulais utiliser, dire que je trouve le menton trop “mangé” et le nez trop appuyé sur le rebord du cadre. Aussi un manque de netteté global même si je vois bien qu’elle a été faite sur l’Å“il
Rmarquable car rès touchant! mais aussi de part sa qualité!
Très joli portrait, les yeux baissés ajoutent à la dramaturgie des rides du visage.
Un regard posé comme une plume… j’aime là encore la douceur du traitement, là où l’on aurait pu être à tord tenté d’en rajouter sur ces rides. Celà renvoi aussi au geste du photographe, s’appliquant à ne pas la réveiller… j’imagine l’approche précautionneuse, , l’apnée à la mise au point, le tressaillement coupable au bruit du déclenchement…, et le perpétuel tic tac de l’horloge du salon…
Il en manque peut être en bas?
un sommeil bien doux, même si je crois préférer l’imaginer dans un environnement, dans son environnement..
Toujours touchant la vieillesse qui surprend et le froid vide de chaleur humaine et comme solong.
Solong aurait-il vécu à la campagne ?
En tous je vois qu’il connaît bien les sons qui accompagnent les vieux (d’une certaine génération tout de même) dans leur solitude et leur attente du lendemain, puis encore du lendemain, identique.
Véronese j’aime beaucoup ton regard.
Dans cette photo, dans ce rapprochement je sens plus la marque d’affection que le recul photographique nécessaire, au-delà de “l’image” que je voulais utiliser, dire que je trouve le menton trop “mangé” et le nez trop appuyé sur le rebord du cadre.
Aussi un manque de netteté global même si je vois bien qu’elle a été faite sur l’Å“il