flo g

medecin anesthesiste,qui manque de temps mais sûrement pas de passion pour la photographie,et qui essaie de vaincre sa timidité en ouvrant un photoblog (grâce à R.P)ces jours ci
29 Commentaires
  1. Dubitatif je suis … :~

  2. Moi j’adore le minimalisme !

  3. j’aime ce coté minimaliste mais qui ouvre la porte a toutes les possibiltés de rêverie ou de questionnement . Bravo pour le titre particulierement bien choisi .

  4. J’aime beaucoup le coté minimalisme comme Alexandre et jeff ta photo me laisse rêveur…
    Mais qu’est ce qu’il peut bien y avoir devant et derrière ?????
    Voila elle me fait réfléchir donc pour moi elle est réussi.
    J’aime beaucoup le traitement.
    Bravo
    5* pour moi

  5. Une photo qui sort aussi de l’ensemble des photos proposées sur ce blog, et c’est bien!! Oui, c’est bien.

  6. ouverture sur la réflexion .. hors des sentiers battus

  7. Comme j’ai pu vous l’écrire sur votre blog, j’aime bien celle-ci, ce vide qui fait echo à l’absence, on entend le silence.

  8. j’y vois un symbole de liberté…pour qui ?
    notre esprit vagabonde…

  9. J’aime beaucoup cette photo. Très peu d’éléments mais une invitation certaine à la réflexion, à l’évasion. Excellent.

  10. Le surréalisme le plus absolu. C’est tellement minimaliste que ça en devient presque abstrait, et ça j’adore… c’est comme un corridor qui aspire l’esprit. Il y a un je ne sais quoi de triste dans cette photo, sans doute ce brouillard impénétrable… on pourrait dire qu’il s’agit de l’entrée du royaume d’Ades. Tristesse et Désolation. Comme le soulignait je ne sais plus qui, le traitement est tout à fait remarquable, des noirs profonds et une jolie gamme de gris… sans oublier une composition rigoureuse… bravo l’artiste 🙂

  11. Merci beaucoup pour vos commentaires, j’y suis tres sensible. Ils sont un véritable encouragement.flo g

  12. @flo : Effectivement, quelle absence ! Un minimum de moyen pour un maximum d’effet, très bien vu !

  13. @Jean-Marc Sylvestre: merci Jean-Marc pour ce commentaire

  14. Sur un mur dans une pièce presque vide. Rien d’autre.

  15. superbe . l’ouverture vers le néant

  16. merci Nicolas et @Pierre Barret, vous m’encourager a aller dans ce sens là: le presque rien, mais que c’est difficile!!

  17. vous m’encourageZ..pardon

  18. j’aime beaucoup, super

  19. merci @bea

  20. depuis le départ,avec cette image,je coince!!! et pourtant,elle vous plait à bon nombre d’entre vous…
    j’ai donc téléchargé l’image (pardon Flo) pour la regarder de plus près, et comprendre pourquoi je n’accroche pas!
    là encore…et pour la nème fois je recadre… pour enfin, passer par la fenêtre et tomber dans le vide!
    (le tiers de l’image à gauche…au milieu de la fenêtre)

  21. @marie: je lis et relis votre commentaire et j’avoue que je n’ai pas compris ce que vous me suggerez..( si vous m’envoyer un email avec votre cadrage perso, ça serait sympa)
    D’autre part, pourquoi cherchez vous à passer par la fenêtre et tomber dans le vide? (pourquoi pas me diriez vous!!)
    Ce n’est pas franchement l’idée de cette photo ou tout du moins celle que j’en ai

  22. Petite entorse à la régle que je m’étais fixé, j’ai voté avec un 6,
    “Parce que vous le vallez bien” ! 😉

  23. Petite entorse à la régle que je m’étais fixé, j’ai voté avec un 6,
    “Parce que vous le valez bien” ! 😉

  24. @Jean-Marc Silvestre: rassurez vous Jean Marc, on s’est empressé de vous corriger.., mais un grand merci.

  25. Cette image m’évoque le poème de Pessoa, le bureau de tabac, cette situation d’être dans une chambre à la fois particulière mais faisant écho à toutes les chambres du monde. Y compris la chambre noire et la chambre claire.
    Cette photographie parle de la photographie dans les termes les plus simples et les plus vrais.

  26. @alain-michel boley : Grâce à votre commentaire, je découvre cette superbe photographie. Vos propos sont très justes. Je suis bouche bée…

  27. Ce soir, mon esprit est passé lentement de Paco de Lucia… à flo g ! Il n’y a pas de lien. Pas besoin de comprendre. Envie de revenir sur cette photo sublime, abyssale, d’une simplicité extravagante, d’une force inouïe, d’un écho infini, alors qu’il est difficile de faire plus court !

    En mémoire d’un 2 septembre…

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