sympa cette photo “voyeur”. ça me fait penser à du Loustal
Patrick Hirtz
sur 29 septembre 2009 à 23h57
D’accord avec vous Sylvain pour le “ça me fait penser à du Loustal…ce qui pour moi signifie que j’aime bien l’ambiance de cette photo…
Bernard Lev
sur 30 septembre 2009 à 0h22
moi je veux bien , mais pas connaître Loustal.
Un lien ?
merci et bonne nuit
jean-Marc Silvestre
sur 30 septembre 2009 à 9h00
J’aime bien l’ambiance, un peu “barrelisée”, non !
Pour Loustal, voilà un lien : http://www.loustal.net/
Bernard Lev
sur 30 septembre 2009 à 9h56
@ jms
bon, maintenant c’est “barrelisée” qui va falloir m’expliquer
une fois mon dictionnaire mis à jour, çà ira mieux
😉
là je cour au boulot
Yvap
sur 30 septembre 2009 à 12h07
“barrelisée” = déformation dû à l’objectif (surtout avec les grand-angles) en forme de barillet bien visible ici surtout sur les verticales du rideau et l’angle du bâtiment à gauche courbes au lieu de droites.
jean-Marc Silvestre
sur 30 septembre 2009 à 13h15
@ Yvap : Bravo pour la définition (déformation en tonneau (Barrel en englais) ou en barillet), pour ma part, j’utilise PTLENS cela fonctionne bien si l’optique est “caractérisée”.
Ne trouvez vous pas qu’il se passe, dans la rue, trop de choses ou pas assez ?
Bernard Lev
sur 1 octobre 2009 à 22h54
@ philippe
Vous croyez que je vais savoir répondre à une question à deux têtes ? 😉
Le grand écart à 22h et je n’ai que cinq lignes de possible ?
Tout dépend pourquoi vous photographiez, de la recherche, déclarée ou non, que vous menez, du besoin qui vous mène à appuyer sur le bouton frénétiquement ou pas.
Si vous n’êtes pas conscient de cette quête et partez de ce fait dans toutes les directions, vous pourrez vous noyer dans un verre d’eau ou à l’opposé ne rien voir dans une rue ou seul le détail infime, l’atmosphère serait à photographier.
Pour trouver trop de choses à photographier, peut-être faut-il ne pas savoir quoi dire ou ne pas avoir réfléchi par où commencer.
Photographier pour dire des choses de l’ordre de l’intime, de l’inconscient, et trop difficiles à exprimer avec des mots qui ne pourraient qu’être interprétés à contre sens ?
Mais n’est-ce pas une démarche identique à travers tous les arts que de chercher à transmettre de l’émotion… mais celle-ci se heurtera aussi à la barrière de la culture…
Bien complexe. Pas du tout sûr que j’ai pu répondre d’une manière cohérente, plutôt par bribes 😉
Soyez très complaisant avec moi sur cette réponse.
Si vous avez appuyé sur le déclencheur à ce moment là, dans ce contexte-là, c’est que quelque chose vous a poussé à le faire, et je ne peux que respecter ce choix. C’est votre photo et je n’ai rien à dire.
Mais si vous me la montrez, le marché entre nous est que je retrouve une bribe de ce que vous avez ressenti au moment de la photo, ou alors que je m’invente ma propre histoire à partir de l’image.
Et, ici, ça se présente bien (contexte, cadrage, atmosphère générale…), mais quand je regarde la rue, j’ai un trou béant au milieu et une activité marginale (couple qui marche à gauche, bouts d’automobiles à droite. Et j’ai du mal à reconstituer votre histoire, ou à me construire la mienne (solitude derrière la grille renforcée par une rue déserte, ou distance vis à vis du monde en marche illustré par la barrière physique de la grille séparant d’une rue grouillante).
D’où mon “trop de choses ou pas assez” — j’ai été un peu elliptique comme d’habitude.
Yvap
sur 2 octobre 2009 à 9h46
Tout comme Philippe … aussi elliptique ! 😉
Bernard Lev
sur 3 octobre 2009 à 11h06
@ philippe
ah je comprends mieux la question…
Donc, mon histoire. Il y a bien longtemps, débarquer en train dans une ville inconnue, trouver rapidement un hôtel pas trop cher, donc pas forcément au meilleur endroit pour des voyageurs itinérants, appréhender rapidement l’environnement, chercher des points de repères, et derrière ce store en bois, observer pensivement et silencieusement pendant quelques minutes, le temps de s’acclimater, les mouvements de foule, l’activité d’une rue populaire.
Hésitation entre emballement avec l’envie de me plonger dans le mouvement pour “en faire partie” ou bien se poser dans un café, histoire de mieux s’imprégner de l’air ambiant. 😉
sympa cette photo “voyeur”. ça me fait penser à du Loustal
D’accord avec vous Sylvain pour le “ça me fait penser à du Loustal…ce qui pour moi signifie que j’aime bien l’ambiance de cette photo…
moi je veux bien , mais pas connaître Loustal.
Un lien ?
merci et bonne nuit
J’aime bien l’ambiance, un peu “barrelisée”, non !
Pour Loustal, voilà un lien : http://www.loustal.net/
@ jms
bon, maintenant c’est “barrelisée” qui va falloir m’expliquer
une fois mon dictionnaire mis à jour, çà ira mieux
😉
là je cour au boulot
“barrelisée” = déformation dû à l’objectif (surtout avec les grand-angles) en forme de barillet bien visible ici surtout sur les verticales du rideau et l’angle du bâtiment à gauche courbes au lieu de droites.
@ Yvap : Bravo pour la définition (déformation en tonneau (Barrel en englais) ou en barillet), pour ma part, j’utilise PTLENS cela fonctionne bien si l’optique est “caractérisée”.
Ne trouvez vous pas qu’il se passe, dans la rue, trop de choses ou pas assez ?
@ philippe
Vous croyez que je vais savoir répondre à une question à deux têtes ? 😉
Le grand écart à 22h et je n’ai que cinq lignes de possible ?
Tout dépend pourquoi vous photographiez, de la recherche, déclarée ou non, que vous menez, du besoin qui vous mène à appuyer sur le bouton frénétiquement ou pas.
Si vous n’êtes pas conscient de cette quête et partez de ce fait dans toutes les directions, vous pourrez vous noyer dans un verre d’eau ou à l’opposé ne rien voir dans une rue ou seul le détail infime, l’atmosphère serait à photographier.
Pour trouver trop de choses à photographier, peut-être faut-il ne pas savoir quoi dire ou ne pas avoir réfléchi par où commencer.
Photographier pour dire des choses de l’ordre de l’intime, de l’inconscient, et trop difficiles à exprimer avec des mots qui ne pourraient qu’être interprétés à contre sens ?
Mais n’est-ce pas une démarche identique à travers tous les arts que de chercher à transmettre de l’émotion… mais celle-ci se heurtera aussi à la barrière de la culture…
Bien complexe. Pas du tout sûr que j’ai pu répondre d’une manière cohérente, plutôt par bribes 😉
Soyez très complaisant avec moi sur cette réponse.
Aïe ! Ne cherchons pas si profond 😉
Si vous avez appuyé sur le déclencheur à ce moment là, dans ce contexte-là, c’est que quelque chose vous a poussé à le faire, et je ne peux que respecter ce choix. C’est votre photo et je n’ai rien à dire.
Mais si vous me la montrez, le marché entre nous est que je retrouve une bribe de ce que vous avez ressenti au moment de la photo, ou alors que je m’invente ma propre histoire à partir de l’image.
Et, ici, ça se présente bien (contexte, cadrage, atmosphère générale…), mais quand je regarde la rue, j’ai un trou béant au milieu et une activité marginale (couple qui marche à gauche, bouts d’automobiles à droite. Et j’ai du mal à reconstituer votre histoire, ou à me construire la mienne (solitude derrière la grille renforcée par une rue déserte, ou distance vis à vis du monde en marche illustré par la barrière physique de la grille séparant d’une rue grouillante).
D’où mon “trop de choses ou pas assez” — j’ai été un peu elliptique comme d’habitude.
Tout comme Philippe … aussi elliptique ! 😉
@ philippe
ah je comprends mieux la question…
Donc, mon histoire. Il y a bien longtemps, débarquer en train dans une ville inconnue, trouver rapidement un hôtel pas trop cher, donc pas forcément au meilleur endroit pour des voyageurs itinérants, appréhender rapidement l’environnement, chercher des points de repères, et derrière ce store en bois, observer pensivement et silencieusement pendant quelques minutes, le temps de s’acclimater, les mouvements de foule, l’activité d’une rue populaire.
Hésitation entre emballement avec l’envie de me plonger dans le mouvement pour “en faire partie” ou bien se poser dans un café, histoire de mieux s’imprégner de l’air ambiant. 😉